J'aurais voulu être un danseur (2005) Alain Berliner

J'aurais voulu être un danseur

Pays de productionBelgique ; France ; Luxembourg ; Grande-Bretagne
Sortie en France29 août 2007
Procédé image35 mm - Couleur
Durée105 mn

Générique technique

RéalisateurAlain Berliner
Assistant réalisateurThomas Decock
ScénaristeAlain Berliner
Collaborateur scénaristiqueSonia Bekhor
Société de production Artémis Productions (Bruxelles)
Société de production Liaison Cinématographique (Paris)
Société de production Samsa Film (Luxembourg)
Coproduction Ipso Facto Films
ProducteurPatrick Quinet
CoproducteurClaude Waringo
CoproducteurChristine Alderson
CoproducteurStéphane Quinet
CoproducteurAlain Berliner
CoproducteurArlette Zylberberg
Producteur exécutifSerge Zeïtoun
Directeur de productionVincent Canart
Distributeur d'origine Eurozoom
Directeur de la photographieTony Pierce-Roberts
Ingénieur du sonPierre Mertens
MixeurDean Humphreys
Compositeur de la musique originaleTerry Davies
Compositeur de la musique originaleMarc Collin
ChorégrapheMette Berggreen
DécorateurPierre-François Limbosch
CostumierCatherine Marchand
MaquilleurGarance Van Rossum
MonteurMarie-Hélène Dozo
ScriptElisabeth Alexandris
RégisseurMarianne Lambert
Photographe de plateauDanièle Pierre

générique artistique

Vincent Elbaz(François Maréchal)
Cécile de France(Blanche)
Jean-Pierre Cassel(Guy adulte)
Circé Lethem(Ariane)
Pierre Cassignard(Guy jeune)
Jeanne Balibar(Claudia)
Simon Buret(Maurice)
Franck Monier(Christian)
Pascal Langdale(Antoine)

Bibliographie

Synopsis

2030. Un professeur explique que les secrets de famille se transmettent génétiquement. Trente ans plus tôt, François Maréchal, gérant d’un vidéoclub, mène une vie tranquille avec sa femme Blanche et son fils Antoine. Un jour, il regarde le DVD de Chantons sous la pluie. Émerveillé par Gene Kelly, il décide de prendre des cours de claquettes. Il ignore que, trente ans plus tôt, son père, Guy, avait eu la même illumination au cinéma. Délaissant son travail, il avait dû quitter sa femme et François afin de vivre sa passion. François délaisse lui aussi son travail. Renvoyé, il s’exerce et se rend à des auditions, tout en faisant croire à Blanche qu’il passe des entretiens. Lorsqu’elle découvre la vérité et lui demande de trouver un emploi, François décide de partir. D’abord à la rue, il atterrit dans le cabaret dirigé par Guy, qu’il croyait mort. Celui-ci ne reconnaît pas ouvertement sa paternité, mais lui transmet son nom de scène : Gene Broadway. L’ancienne partenaire de Guy, Claudia, raconte à François la malédiction de sa famille. Le père de Guy avait déjà eu le désir de danser en regardant Gene Kelly. Devant son échec, il s’était suicidé. François décide de tout révéler à son fils, pour que la malédiction cesse. Sans pardonner à François, Blanche, enceinte, accepte qu’il voie leur fils. Avec son nouvel ami, elle assiste au spectacle de François. Trente ans plus tard, le professeur, Antoine Maréchal, se met à danser...
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