Mon colonel (2006) Laurent Herbiet

Pays de productionFrance ; Belgique
Sortie en France15 novembre 2006
Procédé image35 mm - Couleur
Durée111 mn

Générique technique

RéalisateurLaurent Herbiet
Scénariste Costa-Gavras
ScénaristeJean-Claude Grumberg
Auteur de l'oeuvre originaleFrancis Zamponid'après le roman "Mon Colonel"
Société de production KG Productions
Coproduction KG Productions
Coproduction Arte France Cinéma
Coproduction Wamip Films (Paris)
Coproduction Les Films du Fleuve (Liège)
Coproduction RTBF - Radio Télévision Belge Francophone
ProducteurMichèle Ray-Gavras
CoproducteurSalem Brahimi
CoproducteurLuc Dardenne
CoproducteurJean-Pierre Dardenne
CoproducteurArlette Zylberberg
Distributeur d'origine Pathé Distribution
Directeur de la photographiePatrick Blossier
Ingénieur du sonOlivier Hespel
MixeurThomas Gauder
Compositeur de la musique originaleArmand Amar
DécorateurRamdane Kacer
DécorateurAlexandre Bancel
CostumierEdith Vespérini
MonteurNicole Berckmans

générique artistique

Olivier Gourmet(le Colonel Duplan)
Robinson Stévenin(Guy Rossi)
Cécile de France(le lieutenant Galois)
Charles Aznavour(le Père Rossi)
Bruno Solo(le commissaire Reidacher)
Éric Caravaca(René Ascencio)
Guillaume Gallienne(le sous-préfet)
Georges Siatidis(le capitaine Roger)
Thierry Hancisse(le commissaire Quitard)
Jacques Boudet(le sénateur-maire)
Wladimir Yordanoff(le chef d'état-major)
Bruno Lochet(l'adjudant Schmelk)
Hervé Pauchon(le commandant de Villedieu)
Christophe Rouzaud(le général Bibendum)
Philippe Chevallier(le directeur d'école)
Abdelmalek Kadi(l'inspecteur Belkassem)
Olga Grumberg(Françoise)
Samir Guesmi(Ali)
Ahmed Benaïssa(Ben Miloud)
Xavier Maly(le Père Jeantet)
Philippe Beglia(le Secrétaire d'Etat)
Marie Kremer(Thérèse)
Franck Pitiot(le caporal Arnoul)
Alexandre Gavras(l'inspecteur Bayard)
Faouzi Saichi(le notaire)
Rabah Loucif(Omar Bouamari)

Bibliographie

Synopsis

Paris, de nos jours. Le colonel en retraite Raoul Duplan est assassiné à son domicile. L'enquête piétine quand arrive au ministère de la Défense un courrier anonyme, dont le texte reste sibyllin : "Le colonel est mort à Saint-Arnaud". Dans les semaines qui suivent, les mêmes services recevront, chapitre après chapitre, un journal intime, rédigé en 1957 par un jeune licencié en droit, Guy Rossi, qui, à la suite d'un dépit amoureux, a devancé l'appel sous les drapeaux. À peine avait-il rejoint la garnison de Saint-Arnaud, dans l'Est algérien, qu'il devenait l'aide de camp inexpérimenté du colonel Duplan. Dès sa prise de fonctions, il est chargé d'étudier la latitude qu'offrent les pouvoirs spéciaux votés par l'Assemblée Nationale. Rossi conclut qu'aucune des mesures susceptibles d'être prises par le colonel pour "maintenir l'ordre" n'est contraire aux principes du droit. Dès lors, manipulé par le colonel, dont il admire la personnalité charismatique, il accepte peu à peu de transgresser ses propres principes, de mener lui-même des interrogatoires, et, dans l'intérêt supposé général, de soumettre les suspects à la torture. Éclairée par le journal, la police interroge les protagonistes encore vivants. Malgré les pressions de sa hiérarchie, Duplan fait de plus en plus cavalier seul. Si bien que Rossi finit par s'en désolidariser, ce qu'il paiera de sa vie. Arrêté, le père de Guy Rossi avoue avoir tué le colonel...
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