L'Etoile du soldat (2005) Christophe de Ponfilly

Pays de productionFrance
Sortie en France22 novembre 2006
Procédé image35 mm - Couleur
Durée105 mn

Générique technique

RéalisateurChristophe de Ponfilly
ScénaristeChristophe de Ponfilly
AdaptateurRim Turki
AdaptateurChristophe de Ponfilly
DialoguisteRim Turki
DialoguisteChristophe de Ponfilly
Société de production Voltaire Productions (Paris)
Coproduction Albert Films
Coproduction Afghan Film (Kaboul)
Coproduction France 2 Cinéma
ProducteurFrédéric Laffont
ProducteurJacques Hinstin
Directeur de productionPhilippe Gautier
Distributeur d'origine Les Films du Losange (Paris)
Directeur de la photographieLaurent Fleutot
Ingénieur du sonAlain Curvelier
MixeurMatthias Schwab
Compositeur de la musique originaleJean-Baptiste Loussier
DécorateurFrançois Chauvaud
MonteurAnja Lüdcke
Photographe de plateauCyril Le Tourneur d'Ison

générique artistique

Sacha Bourdo(Nikolaï)
Patrick Chauvel(Vergos)
Mohammad Amin(Najmoudine)
Ahmad Shah Alefsourat(Assad)
Gol Goutey(Leïla)
Igor Naryshkin(Valoudia)
Denis Manohin(Mosgh)
Pavel Kuzin(le lieutenant)
Elena Mikheeva(la mère)
Serguey Sonovsky(le père)
Murad Ibrahim Bekov(Zanoviev)

Bibliographie

Synopsis

11 septembre 2001, dans les montagnes afghanes, le reporter français Vergos apprend l'attaque du World Trade Center par Al Quaïda. Il se souvient alors comment, en 1984, entré clandestinement en Afghanistan pour suivre la résistance des troupes du commandant Massoud à l'occupation soviétique, il rencontra Nikolaï, jeune recrue russe, musicien, pacifique, arraché à sa petite ville, puis envoyé dans une garnison isolée à l'entrée de la vallée du Panjshir. Jeté dans une guerre meurtrière occultée dans son pays, Nikolaï avait été capturé par les Moudjahidins de Najmoudine, un des commandants de Massoud, alors qu'il venait de sauver d'un viol (par un de ses congénères) une villageoise afghane. D'abord terrorisé par le sort qui lui serait réservé (les rumeurs sur la barbarie des Moudjahidins allaient bon train chez les siens), Nikolaï avait partagé le quotidien de ses geoliers, la précarité de leur vie entre attaques contre l'occupant et fuite devant les raids aériens. Peu à peu Nikolaï avait compris l'injustice et la violence faites à ce peuple qu'il découvrait, et dont il avait fini par adopter les coutumes, la langue, la tenue et les actions de résistance. Najmoudine l'avait protégé de ceux qui voulaient l'exécuter, puis l'avait libéré et confié à Vergos qui, au terme de longs jours de marche, lui avait fait franchir la frontière pakistanaise avec le projet de le ramener en France.
© LES FICHES DU CINEMA 2006
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