Ce que mes yeux ont vu (2006) Laurent de Bartillat

Pays de productionFrance
Sortie en France28 novembre 2007
Procédé image35 mm - Couleur
Durée88 mn

Générique technique

RéalisateurLaurent de Bartillat
Assistant réalisateurJean-Cédric Rimaud
ScénaristeLaurent de Bartillat
ScénaristeAlain Ross
Société de production Shilo Films (Paris)
Société de production 2.1 Films
ProducteurGeoffroy Grison
ProducteurFred Bellaïche
CoproducteurNoah Harlan
CoproducteurValérie Saas-Lovichi
Directeur de productionJean-Paul Guyon
Distributeur d'origine ID Distribution (Paris)
Directeur de la photographieJean-Marc Selva
Ingénieur du sonFrançois Sempé
Ingénieur du sonSylvain Malbrant
Ingénieur du sonJean-Guy Véran
Compositeur de la musique originaleDavid Moreau
DécorateurSandra Castello
MonteurTina Baz-Legal
ScriptBérengère Saint-Bezar

générique artistique

Sylvie Testud(Lucie)
Jean-Pierre Marielle(Dussart)
James Thierrée(Vincent)
Agathe Dronne(Garance)
Christiane Millet(la mère de Lucie)
Miglen Mirtchev(Ivan)
Chantal Trichet(l'infirmière)
Jean-Gabriel Nordmann(Gasque)
Serpentine Teyssier

Bibliographie

Synopsis

Lucie, brillante étudiante de Dussart, spécialiste émérite de Watteau, essaie de percer le mystère d’une femme, toujours représentée de dos par le peintre. Son enquête perturbe ses études, et même son travail dans la boutique de reprographie d’Ivan. D’autant que sa rencontre avec Vincent, mime sourd-muet qui évoque le Gilles de Watteau, crée en elle un profond émoi. Lucie identifie la femme comme étant la comédienne Charlotte Desmares, et veut prouver qu’elle fut le grand amour de Watteau. Puis, ses recherches la conduisent à un tableau d’un petit maître ami de Watteau, Openor, dont elle essaie de retrouver la trace. Dussart, devenu étrangement hostile, la dissuade de continuer. Sa mère, comédienne, refuse de l’aider. Lucie est de plus en plus obsédée et déstabilisée par son enquête. Dussart refuse de continuer à diriger ses études, et lui révèle que la recherche de Charlotte lui a fait gâcher sa vie en vain. Vincent est victime d’une rupture d’anévrisme. Découvrant que le tableau d’Openor va être vendu aux enchères, Lucie l’acquiert après avoir vendu le seul bien qui lui restait de son père. À son retour, elle a la douleur d’apprendre la mort de Vincent. Elle porte le tableau à son amie Garance qui travaille chez Gasque, restaurateur d’oeuvres d’art. Épuisée, elle s’endort pendant que Garance examine le tableau. À son réveil, Gasque et Dussart contemplent le Watteau et le visage de Charlotte que recouvrait la peinture signée Openor...
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