Cordero de Dios (2007) Lucía Cedrón

Agnus Dei

Pays de productionArgentine ; France ; Chili
Sortie en France07 mai 2008
Procédé image35 mm - Couleur
Durée90 mn

Générique technique

RéalisateurLucía Cedrón
ScénaristeLucía Cedrón
ScénaristeSantiago Giralt
Collaborateur scénaristiqueThomas Philippon-Aginski
Société de production Lita Stantic Producciones
Société de production Les Films d'Ici (Paris)
Société de production Goa Films (Santiago de Chile)
ProducteurLita Stantic
ProducteurSerge Lalou
Distributeur d'origine Ad Vitam Distribution (Paris)
Directeur de la photographieGuillermo Nieto
Ingénieur du sonGuido Berenblum
Ingénieur du sonVíctor Tendler
Ingénieur du sonJean-Guy Véran
Compositeur de la musique originaleSebastián Escofet
MonteurRosario Suarez

générique artistique

Mercedes Morán(Teresa en 2002)
Jorge Marrale(Arturo)
Leonora Balcarce(Guillermina en 2002)
Malena Solda(Teresa en 1978)
Juan Minujín(Paco)
Horácio Peña(le général Delfione)
Maria Izquierdo(Maria Paz en 2002)
Ignacia Allamand(Maria Paz en 1978)
Ariana Morini(Guillermina en 1978)
Ana Celentano(une militante en 1978)

Bibliographie

Synopsis

Buenos Aires, 2002. Guillermina apprend l’enlèvement de son grand-père, Arturo. Teresa, fille d’Arturo et mère de Guillermina, arrive alors de France, où elle s’est exilée après s’être fâchée avec son père. La rançon demandée est assez élevée et les oblige à envisager la vente de la maison familiale, chargée de souvenirs. La mère s’y oppose. Vingt ans plus tôt, sous la dictature. Arturo, vétérinaire, s’occupe des chevaux d’un général lié au régime, ce qui n’est pas du goût de sa fille et de son gendre, Paco. Arturo met plusieurs fois en garde le couple face aux dangers que lui font courir leurs engagements. Mais son gendre, journaliste sur une chaîne de sport, espère profiter d’une rencontre de football pour dénoncer la dictature auprès des journalistes étrangers. Ses amis sont progressivement arrêtés. Et lorsque l’un d’eux est blessé, c’est Teresa, infirmière, qui le soigne. Elle se fait arrêter, mais est finalement relâchée. Elle apprend la mort de son mari, officiellement tué d’une balle perdue. En 2002, Guillermina demande à sa mère de solliciter l’aide du général. Mais Teresa ne peut s’y résoudre. Guillermina ne comprend pas son refus, et la repousse. Elle finit par apprendre que Teresa a quitté le pays parce qu’elle suspectait Arturo d’avoir livré son mari à la mort. Elles finissent par vendre la maison et paient la rançon. Arturo est libéré. Vingt ans plus tôt, celui-ci avait dû choisir entre son gendre et sa fille.
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