Dernier maquis (2007) Rabah Ameur-Zaïmeche

Pays de productionFrance ; Algérie
Sortie en France22 octobre 2008
Procédé image35 mm - Couleur
Durée93 mn

Générique technique

RéalisateurRabah Ameur-Zaïmeche
Assistant réalisateurNicolas Bancilhon
Assistant réalisateurGilles Guillaume
Assistant réalisateurSarah Sobol
ScénaristeRabah Ameur-Zaïmeche
ScénaristeLouise Thermes
Société de production Sarrazink Productions (Paris)
ProducteurRabah Ameur-Zaïmeche
Directeur de productionSarah Sobol
Distributeur d'origine Sophie Dulac Distribution (Paris)
Directeur de la photographieIrina Lubtchansky
Ingénieur du sonBruno Auzet
Ingénieur du sonTimotey Alazraki
MixeurNikolas Javelle
MixeurDenis Lefdup
Compositeur de la musique originaleSylvain Rifflet
DécorateurFrançois Musquet
DécorateurPatrick Horel
MonteurNicolas Bancilhon
RégisseurSalim Ameur-Zaïmeche
RégisseurKarim Mezdour

générique artistique

Salim Ameur-Zaïmeche(un mécanicien)
Abel Jafri(un mécanicien)
Sylvain Roume(un mécanicien)
Christian Milia-Darmezin(Titi)
Larbi Zekkour(l'imam)
Mamadou Koita(le chef du village)
Mamadou Kebe(Muezzin)
Rabah Ameur-Zaïmeche(Mao le patron)

Bibliographie

Synopsis

Mao est patron d’une entreprise couplant réparation de palettes et garage de poids lourds. Son personnel se compose de trois mécaniciens, un peintre, quelques caristes et des manoeuvres. Ces derniers sont originaires d’Afrique noire. Les autres, comme Mao, issus de familles maghrébines. Tous sont musulmans. Titi, jeune cariste récemment converti et zélé, se circoncit lui-même, ce qui lui vaut un séjour à l’hôpital. Dans un souci de piété affichée, Mao offre à ses employés une mosquée (en fait une salle en préfabriqué) et désigne, sans concertation, le peintre Hadji comme imam. À la prière du vendredi, les mécanos et Titi, qui espérait être imam, discutent cette décision, d’autant que Mao a du retard dans le paiement des salaires. Mao demande à Hadji d’empêcher les fortes têtes de parler aux manoeuvres : il espère acheter la paix sociale par la religion. Piégé dans la fosse de vidange, un ragondin est ensuite relâché affectueusement dans la rivière proche. Mao promet une faible augmentation au «chef de village» des manoeuvres. Quand il annonce aux mécanos qu’il ferme le garage, pas assez rentable, et doit donc les renvoyer, c’en est trop. Malgré la perspective d’une reconversion, ils entrent en conflit avec Mao, avec Titi à leur côté. Un matin, ils bloquent l’accès à l'entreprise avec un camion. Mao réussit à entrer mais se fait assommer. Jusqu’à la nuit, les "mutins" dressent un mur de palettes et entrent en résistance.
© LES FICHES DU CINEMA 2008
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