Adama Meshuga'at (2006) Dror Shaul

Adama, mon kibboutz

Pays de productionIsraël ; Allemagne ; Japon ; France
Sortie en France16 décembre 2009
Procédé image35 mm - Couleur
Durée90 mn

Générique technique

RéalisateurDror Shaul
ScénaristeDror Shaul
Société de production Sirocco Productions (Tel Aviv)
Société de production Cinephil (Tel Aviv)
Société de production Heimatfilm GmbH (Köln)
Coproduction Tu Vas Voir Productions (Paris)
Coproduction NHK - Nippon Hoso Kyokai (Tokyo)
ProducteurBettina Brokemper
ProducteurPhilippa Kowarsky
ProducteurJohannes Rexin
ProducteurSharon Shamir
ProducteurDror Shaul
ProducteurEdgard Tenenbaum
Producteur exécutifMakoto Ueda
Distributeur d'origine Colifilms Diffusion
Directeur de la photographieSebastian Edschmid
Compositeur de la musique originaleTsoof Philosof
Compositeur de la musique originaleAdi Renart
DécorateurAvishay Avivi
CostumierRona Doron
MonteurIsaac Sehayek

générique artistique

Tomer Steinhof(Dvir)
Ronit Yudkevitz(Miri)
Shai Avivi(Avraham)
Pini Tavger(Eyal)
Gal Zaid(Shimshon)
Henri Garcin(Stephan)
Daniel Kitsis(Maya)
Idit Tzur(Hanna)
Joseph Korman(Zvi)
Sharon Zuckerman(Etty)
Rivka Neuman(Zila)
Ami Weil(Uzi)
Hila Ofer(Linda)
Omer Berger(Ronen)
Natan Sgan-Cohen(Avi)

Bibliographie

Synopsis

Années 1970, dans un kibboutz au sud d’Israël, Dvir Avni, 12 ans, est pris entre l’image d’un père suicidé, un grand frère happé par l’armée et les filles, et une mère dépressive, Miri. Dvir s’astreint à prendre soin d’elle comme il le peut, tout en se rendant compte qu’elle est abandonnée à son sort. Celle-ci demande au kibboutz la permission de recevoir pendant deux semaines Stephan, son prétendant suisse, ancien champion de judo. Accord lui est donné et Stephan, plus âgé que ne le fantasmait Dvir, arrive. Il est aimant avec Miri et attentif avec l’enfant, qui s’attache d’emblée à lui et à sa force tranquille. Mais, à la suite d’une altercation avec l’un des membres du kibboutz, Stephan n’est plus le bienvenu et doit repartir. Miri, qui refuse de le suivre en Suisse, sombre doucement dans un vertige dépressif de plus en plus profond. Stephan ne lui écrit plus, la solitude et la maladie deviennent trop intenses et on doit l’hospitaliser de nouveau alors que Dvir s’attelle aux derniers préparatifs de sa bar-mitsva. Ce grand jour, Miri est de retour mais, au moment du discours de félicitation qu’elle doit prononcer, elle ne peut s’empêcher de crier sa haine de cette communauté qui la broie. Calmée par des sédatifs mais décidée à en finir, elle demande à Dvir d’aller lui chercher des barbituriques à l’infirmerie. L’enfant, qui a compris, lui obéit puis s’enfuit du kibboutz, accompagné d’une camarade.
© LES FICHES DU CINEMA 2009
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