Gamines (2008) Éléonore Faucher

Pays de productionFrance
Sortie en France16 décembre 2009
Procédé image35 mm - Couleur
Durée107 mn

Générique technique

RéalisateurÉléonore Faucher
Assistant réalisateurValérie Mégard
ScénaristeÉléonore Faucher
Auteur de l'oeuvre originaleSylvie Testudd'après le roman "Gamines"
Société de production Ex Nihilo (Paris)
Coproduction Rhône-Alpes Cinéma (Villeurbanne)
Coproduction TF1 International
ProducteurBlanche Guichou
Producteur déléguéRobert Guédiguian
Directeur de productionNathalie Duran
Distributeur d'origine TFM Distribution
Directeur de la photographiePierre Cottereau
Ingénieur du sonJacques Pibarot
MixeurFlorent Lavallée
Compositeur de la musique originaleLaurent Petitgand
DécorateurValérie Valéro
CostumierCatherine Rigault
MaquilleurEvelyne Byot
MonteurJoële Van Effenterre
Photographe de plateauPascal Chantier

générique artistique

Amira Casar(Anna Di Biaggio)
Sylvie Testud(Sybille adulte)
Zoé Duthion(Sybille enfant)
Louise Herrero(Corinne enfant)
Roxanne Monnier(Georgette enfant)
Jean-Pierre Martins(Salvatore, le parrain Di Biaggio)
Sophie Guillemin(Odile, la marraine Di Baggio)
Laurence Cordier(Corinne adulte)
Élise Otzenberger(Georgette adulte)
Lubna Azabal(Angela Di Biaggio)
Marc Barbé(Antoine Mercier, le père)

Bibliographie

Synopsis

Sybille se souvient : elle a deux soeurs, Corinne l’aînée et Georgette la cadette. Elle n’est pas avare de blagues, et son père, que sa mère a quitté il y a longtemps déjà et qui réapparaît parfois, tel un fantôme, en cognant à la porte, constitue une inépuisable source d’inspiration. Elle trouve un jour une photo de lui dans les affaires de sa mère : cela devient son plus précieux trésor, et un secret qu’elle partage avec ses soeurs. Le temps libre est souvent occupé par les fêtes de famille, où Sybille aime à retrouver son parrain, Salvatore, et sa tante, Angela. Dans cette famille italienne et à cette époque en France, le divorce d’Anna, la mère, continue de choquer. Celle-ci décide d’envoyer ses petites en colonie. Pendant leur absence, elle revoit Antoine, leur père. Puis ce sont les vacances en Italie, en famille, où Sybille, trop blanche, trop blonde, trop fantaisiste, trop française, est renvoyée à l’image de son père, dont elle ne connaît que la photo. Des années plus tard, Sybille, devenue comédienne, reconnaît son père dans la salle de théâtre, où elle est venue participer à une rencontre avec le public. Mais il part sans lui dire un mot. Après de longues hésitations, elle se décide à l’appeler, et va le rencontrer, rejointe par ses soeurs. Elle réalise alors qu’elle est en définitive plus attachée à la photo de lui qu’à lui en vrai. Elle décide qu’elle ne le reverra jamais.
© LES FICHES DU CINEMA 2009
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