Au cas où je n'aurais pas la Palme d'Or (2011) Renaud Cohen

Pays de productionFrance
Sortie en France08 août 2012
Procédé image35 mm - Couleur
Durée85 mn

Générique technique

RéalisateurRenaud Cohen
ScénaristeRenaud Cohen
DialoguisteRenaud Cohen
Société de production Les Films de la Bosse (Paris)
ProducteurRenaud Cohen
Directeur de productionMarine Tuloup
Distributeur d'origine Jour2Fête (Paris)
Directeur de la photographieMarc Tevanian
Directeur de la photographieHervé Cohen
Ingénieur du sonGuillaume Valeix
Compositeur de la musique originaleYan Volsy
Directeur artistiqueTania Shebabo-Cohen
DécorateurTania Shebabo-Cohen
CostumierTania Shebabo-Cohen
MaquilleurSarah Pariset
MonteurMarine Benveniste

générique artistique

Renaud Cohen(Simon)
Emmanuel Salinger(le médecin)
Frédéric Pierrot(le producteur)
Maurice Bénichou(Dieu/l'acteur/le rabbin)
Samir Guesmi(Yossef)
Bruno Todeschini(le chef opérateur)
Eric Veniard(le scénariste)
Eric Bonicatto(l'ami comédien)
Solveig Anspach(une réalisatrice anonyme)
Alain Beigel(un réalisateur anonyme)
Pauline Barzman(Nadine)
Lucas Borzykoswski(Simon à 15 ans)
Caroline Burgues(la comédienne)
Cléo Cohen(Penelope)
Flavie Cohen(la mère de Simon)
Hughes Cohen(Isaac)
Lénie Cohen(Prune)

Bibliographie

Synopsis

On enterre Simon au cours d’une cérémonie juive, en présence de sa famille et de ses amis. Lui-même remonte le fil des événements qui l’ont conduit à cette mort prématurée. Réalisateur en panne de financement depuis dix ans, malgré un premier long métrage réussi, Simon, pour se sevrer du besoin de tourner, s’était inscrit aux Réalisateurs Anonymes. À la suite d’un pari idiot, il s’était rasé la tête et avait découvert une énorme bosse au sommet de son crâne. Persuadé d’être atteint d’un mal incurable et interpelé par Dieu sur sa mécréance, Simon avait décidé de tourner coûte que coûte son grand oeuvre avant de mourir. Avec son coscénariste, il avait échafaudé plusieurs récits, tous refusés par son producteur. Il en était venu à raconter sa vie, avait réquisitionné sa femme Rebecca et leurs trois enfants, son frère, supplié ses parents de vendre leur appartement pour le financer, fait le siège du CNC armé d’un mégaphone, sans succès. Finalement, il avait réussi à convaincre les acteurs de son premier film de tourner quasi pour rien et engagé une équipe de copains pour filmer dans son pavillon des Lilas. Mais Rebecca, excédée par cette invasion, l’avait quitté avec les enfants. Simon avait alors appris que sa bosse était bénigne, puis que le CNC lui accordait une subvention, mais aussi que Rebecca avait eu une aventure avec son chef opérateur. Il avait quitté le plateau sur son vélo, ivre de rage, et s’était fait renverser par une voiture.
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