An Unmarried Woman (1977) Paul Mazursky

La Femme libre

Pays de productionEtats-Unis
Sortie en France26 mai 1978
Procédé image35 mm - Couleur
Durée124 mn

Générique technique

RéalisateurPaul Mazursky
Assistant réalisateurTerence A. Donnelly
Assistant réalisateurThomas John Kane
ScénaristePaul Mazursky
Société de production Twentieth Century Fox Film Corporation
ProducteurPaul Mazursky
ProducteurTony Ray
Directeur de productionTerence A. Donnelly
Distributeur d'origine Twentieth Century Fox France
Directeur de la photographieArthur J. Ornitz
Ingénieur du sonDennis Maitland
Compositeur de la musique originaleBill Conti
Créateur des décorsPato Guzman
DécorateurEdward Stewart
CostumierAlbert Wolsky
MaquilleurMike Maggi
CoiffeurBill Farley
MonteurStuart H. Pappé
ScriptKay Chapin

générique artistique

Jill Clayburgh(Erica Benton)
Alan Bates(Saul Kaplan)
Michael Murphy(Martin Benton)
Cliff Gorman(Charlie)
Pat Quinn(Sue)
Kelly Bishop(Elaine)
Lisa Lucas(Patti Benton)
Linda Miller(Jeannette)
Andrew Duncan(Bob)
Daniel Seltzer(le docteur Jacobs)
Matthew Arkin(Phil)
Penelope Russianoff(Tanya)
Novella Nelson(Jean)
Raymond J. Barry(Edward)
Ivan Karp(Herb Rowan)
Jill Eikenberry(Claire)
Michael Tucker(Fred)
Chico Martínez(le chauffeur de taxi)
Clint Chin(le serveur chinois)
Ken Chapin(l'homme au bar)
Tom Elios(le vendeur de glace)
Karen Ford(la secrétaire de direction)
Alice J. Kane(la serveuse)
Paul Mazursky(Hal)
Pamela Meunier(la fille du vestiaire)
Donna Perich(Sophie)
Vincent Schiavelli(l'homme à la fête)
John Stravinsky(le barman)
Paul Jenkins(un invité)
Meg Mazursky(une invitée)
Ultra Violet(Lady MacBeth)
David Rasche

Bibliographie

Synopsis

Vous connaissez les femmes américaines d'aujourd'hui. Ces Jeannette, Elaine, Sue et autre Erica qui s'entendent bien entre elles, qui sont libres et qui crèvent de chercher une self-esteem (dignité, orgueil, confiance en soi ?). Erica est peut-être un peu différente : elle a un métier, un mari, une fille. 16 ans de mariage dont le bonheur va claquer comme un ballon de baudruche au coin d'une rue, là où Martin, le mari, lui avouera une liaison avec une femme beaucoup plus jeune. A vomir. Alors commence l'errance de la souffrance. Et de la réflexion. De la vengeance même ; un instant, quand elle utilise un homme pour se libérer de ses complexes. Patti, sa fille, son rempart, sa joie, lui devient incompréhensible et elle chasse de chez elle le petit ami de celle-ci. Malgré sa jeunesse, il représente le mâle, le jouisseur sous le joug duquel elle ne veut plus se remettre. Nerveuse et seule, il ne lui reste qu'une solution : le psychanalyste et son cortège de silence et de « pendant une semaine, essayez d'abandonner votre culpabilité ». A vrai dire, le traitement durerait encore si Erica ne rencontrait Saul, un peintre mi-Matthieu, mi-Paul Jenkins. Il lui redonne goût à la vie et lui demande en échange sa liberté puisqu'il est prêt à la prendre en charge financièrement. à condition qu'elle le suive. Il partira seul en lui laissant en guise de cadeau d'adieu une toile immense. qu'elle disputera au vent, dans les rues de New York vers une destination inconnue ; la liberté.
© Les fiches du cinéma 2003
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