Générique technique
 Réalisateur | Roy Rowland | |
| Assistant réalisateur | Gilbert L. Kay | |
| Scénariste | Chester Erskine | |
| Société de production | Chester Erskine Productions | |
| Producteur | Chester Erskine | |
| Directeur de la photographie | John Alton | |
| Ingénieur du son | Jack Goodrich | |
| Ingénieur du son | Joel Moss | |
| Compositeur de la musique originale | Herschel Burke Gilbert | |
| Auteur des chansons originales | Herschel Burke Gilbert | |
| Auteur des chansons originales | Sylvia Fine | |
| Directeur artistique | William Ferrari | |
| Costumier | Kay Nelson | |
| Maquilleur | Curly Batson | |
| Monteur | Robert Swink |
générique artistique
| Barbara Stanwyck | (Cheryl Draper) |
| George Sanders | (Albert Richter) |
| Gary Merrill | (le lieutenant de police Lawrence Mathews) |
| Jesse White | (Eddie Vincent) |
| Harry Shannon | (le capitaine Donnelly) |
| Claire Carleton | (la blonde) |
| Lewis Martin | (le psychiatre) |
| Dick Elliott | (le directeur d'appartement) |
| Harry Tyler | (Charlie) |
| Juanita Moore | (une femme) |
| Joy Hallward | (la collègue de Cheryl) |
| Adeline De Walt Reynolds | (la vieille dame) |
| Gertrude Graner | (la femme de la police) |
| Claude Akins | (l'officier de police) |
| Sam Edwards | (le magasinier du drogstore) |
Bibliographie
Périodiques
- Cinématographie Française (La), n° 1579, 31 juillet 1954
- Cinémonde, n° 1040, 9 juillet 1954
- Film Français (Le) n° 525, 16 juillet 1954
- Velvet Light Trap, n° 16, automne 1976
Synopsis
Une jeune fille qui exerce le métier de dessinatrice voit par hasard dans un appartement de l'immeuble d'en face un homme qui étrangle une femme. Elle prévient immédiatement la police, tandis que le coupable fait disparaître les traces de son crime. L'assassin est un homme de lettres, de bonne apparence, et il n'a aucune peine à expliquer aux policiers qu'ils commettent une erreur. Les policiers vont retrouver la jeune fille qui a dénoncé le crime et essaient de la persuader qu'il s'agit d'une hallucination. La jeune fille maintient son dire et l'homme de lettres, se rendant compte qu'elle finira par devenir dangereuse, imagine avec des moyens machiavéliques de faire comprendre à la police qu'il s'agit d'une folle et qu'il est urgent de la faire entrer dans un hôpital psychiatrique. C'est ce que l'on fait, mais heureusement un des policiers a beaucoup de sympathie pour cette personne et réussit à la soustraire au régime démoralisant de cet asile. L'assassin continue la même tactique qui a bien réussi une première fois et parvient de nouveau à mettre son accusatrice dans une situation impossible, à tel point qu'elle est tentée de se suicider.© Les fiches du cinéma 2003
Exploitation
| Nombre total d'entrées en fin d'exclusivité (Paris) | 54928 |
| Nombre de salles de sortie (Paris) | 4 |
| Nombre de semaines d'exclusivité (Paris) | 2 |
| Nombre d'entrée première semaine (Paris) | 32517 |