A rebrousse-poil = Les Piqués (1959) Pierre Armand

Pays de productionFrance
Sortie en France08 février 1961
Procédé image35 mm - NB
Durée87 mn

Générique technique

RéalisateurPierre Armand
ScénaristePierre Armand
DialoguistePierre Armand
Société de production Franco-Ciné Productions
ProducteurYves Armand
Directeur de productionJean Martinetti
Distributeur d'origine Les Films Dispa (Paris) - Les Distributeurs Parisiens
Directeur de la photographieCharles Suin
CadreurMarcel Franchi
Ingénieur du sonPierre-Henri Goumy
Compositeur de la musique originaleAlain Nancey
Compositeur de la musique originaleHubert Degex
DécorateurRobert Dumesnil
MaquilleurChristiane Fornelli
MonteurVictor Grizelin
ScriptCécilia Malbois
RégisseurLouis Manella
Conseiller techniqueJean Bastia
Photographe de plateauGaston Thonnart

générique artistique

Noël Roquevert(le colonel)
Micheline Dax(Charlotte)
Jacques Morel(Monsieur Durand)
Mathilde Casadesus(Madame Durand)
Jeanne Fusier-Gir(la concierge)
Alfred Pasquali(le spéléologue)
André Gabriello(le père de famille)
Lucien Raimbourg(le professeur Campu)
Rudy Lenoir(le professeur Rinoff)
Robert Arnoux(Carrié, le banquier)
Nicky Valor(la veuve)
Jeannine Brossard(la comtesse)
Corinne Darmont(la nièce du spéléologue)
Mag-Avril
André Badin
Robert Berri
Fransined
Grégoire Gromoff
Dominique Zardi

Bibliographie

Synopsis

Deux professeurs ont mis au point un « sérum de bonté » qui transforme l'être le plus féroce en un être d'une bonté absolue. Grâce à l'injection de ce sérum de bonté, une lionne sauvage est devenue un doux et pacifique félin. L'expérience tentée sur les humains devient obligatoire dans la France entière, puis en Europe. C'est ainsi que le ménage Durand, qui souffrait de l'agressivité de l'acariâtre Mme Durand, devient un tendre ménage. Mme Durand, douce et bonne, dorlote son mari, tellement heureux de cette tranformation radicale de son épouse. La concierge de l'immeuble habité par les Durand s'ingénie à rendre service aux locataires. Le colonel du troisième étage, abominable autocrate, s'empresse auprès de ses voisins, soucieux de ne les point déranger. Mais dans cette humanité devenue foncièrement bonne, tout ne va pas cependant sans de nouveaux conflits, suscités, précisément, par cette bonté débordante. M. Durand devra intervenir auprès de la maîtresse de son patron, car ce dernier, qui ne l'aime plus, n'ose le lui dire de peur de la précipiter dans le chagrin. Or, la situation semble s'arranger puisque la maîtresse elle-même n'est plus éprise. Cependant, attendant un enfant, il lui faut trouver un père à cet enfant, puis un père et une mère pour elle-même. M. Durand deviendra rapidement père et grand-père et même beau-père, puisque la demoiselle se mariera avec le bien-aimé avec lequel elle échange une correspondance amoureuse platonique depuis quatre ans. Avec stupeur, nous découvrons que l'auteur des poèmes qu'elle recevait n'est autre que le patron de Durand, le père de l'enfant attendu ! Emotions, mariage, puis déclaration de guerre par une peuplade non vaccinée au sérum de bonté. En toute hâte, un contre-vaccin est inoculé à la population devenue incapable de se défendre et qui, brusquement, recouvrera son agressivité et ses méchancetés. La bombe atomique éclate. La paix du foyer est dissipée à jamais. Mme Durand recommence à empoisonner les jours de son mari.
© Les fiches du cinéma 2001
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Exploitation

Tournage

Dates de tournage

Début : 07 septembre 1959
Fin : 08 octobre 1959