An einem Freitag um halb zwölf (1960) Alvin Rakoff

Vendredi, 13 heures

Pays de productionRépublique fédérale d'Allemagne ; France ; Italie
Sortie en France23 août 1961
Procédé image35 mm - NB
Durée102 mn

Générique technique

RéalisateurAlvin Rakoff
Assistant réalisateurEva Ebner
Assistant réalisateurUlly Pickardt
ScénaristeFrank Harvey
Auteur de l'oeuvre originaleJames Hadley Chased'après le roman "On Friday at Eleven"
Société de production Corona Filmproduktion GmbH (München)
Société de production Critérion Films (Paris)
Société de production Erredi Film (Roma)
Société de production Panda Cinematografica (Roma)
ProducteurAlexander Grueter
Producteur associéArthur Brauner
Directeur de productionWerner Ludwig
Directeur de la photographieVáclav Vích
CadreurAntonio Belviso
CadreurEnrico Cortese
Ingénieur du sonGerhard Müller
Compositeur de la musique originaleClaude Bolling
DécorateurHans H. Kuhnert
DécorateurWilhelm Vorwerg
MaquilleurGünther Frank
MaquilleurGerda Scholz-Grosse
MonteurEdward Jarvis
MonteurAlice Ludwig
RégisseurRichard Oehlers
Photographe de plateauLilo Winterstein

générique artistique

Rod Steiger(Frank Morgan)
Nadja Tiller(Ginny)
Peter Van Eyck(Bleck)
Ian Bannen(Kitson)
Jean Servais(Gypo)
Marisa Merlini(Madame Mandini)
Memmo Carotenuto(Monsieur Mandini)
Edoardo Nevola(Carlo Mandini)
Carlo Giustini(Pierre)

Bibliographie

Synopsis

Quatre hommes, Morgan, Bleck, Gypo et Kitson, avant de se retirer des « affaires », vont exécuter le hold-up de leur vie. L'idée leur a été suggérée par une femme, Ginny. Aux environs de Marseille se trouve une base américaine. Chaque mois, un camion blindé part de la ville avec un million de dollars, la paie de la base. Le plan est simple. La voiture doit emprunter une route isolée. Ginny, à bord d'une voiture de sport, doublera à un moment donné le camion. Quelques kilomètres plus loin, un accident sera simulé, voiture renversée, conductrice inanimée en bordure de la route. Inévitablement, le camion s'arrêtera, le convoyeur ira porter secours à la blessée ; le conducteur, resté à sa place, sera maîtrisé ; les deux hommes supprimés. Il restera à dissimuler le camion. Là aussi, Ginny a eu une idée. On cachera le trop voyant véhicule dans « une caravane ». Pour exécuter le plan, il faut une certaine somme d'argent pour acheter le matériel, la caravane, les voitures. Un hold-up dans un cabaret est organisé. Il réussit. Morgan, le chef de la bande, a pu apprécier au cours de cette opération le sang-froid de Genny. Le jour « J » est arrivé : vendredi 13 heures. Tout marche selon le plan. Les racketteurs n'ont oublié qu'une chose. La voiture est munie d'un émetteur radio. Avant de s'affaler grièvement blessé, le conducteur a déclenché le système d'alarme et fermé les volets métalliques. Déjouant un barrage de la police, ils réussissent à gagner un petit bois. Avant de gagner un terrain de camping, pour ne pas éveiller l'attention, il faut s'assurer que le conducteur est bien mort. On force le volet métallique de la portière. Le chauffeur est affaissé sur son volant. Blessé à mort, il a encore la force de tirer sur Kitson qui essaye de lui saisir son revolver. Morgan vide son chargeur sur le moribond. Gypo est bouleversé par la mort des deux hommes. Dans le camp, la caravane et son précieux chargement passent inaperçus. Pourtant, à l'intérieur, Gypo tente d'ouvrir le coffre. Il a trouvé au bout de quinze jours deux chiffres de la combinaison et il en reste encore cinq.
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