Nattvards gästerna (1962) Ingmar Bergman

Les Communiants

Pays de productionSuède
Sortie en France30 avril 1965
Procédé image35 mm - NB
Durée80 mn

Générique technique

RéalisateurIngmar Bergman
Assistant réalisateurLenn Hjortzberg
Assistant réalisateurVilgot Sjöman
ScénaristeIngmar Bergman
Société de production SF - Svensk Filmindustri (Stockholm)
Directeur de productionAllan Ekelund
Directeur de la photographieSven Nykvist
Ingénieur du sonStig Flodin
Ingénieur du sonBrian Wikström
Compositeur de la musique préexistanteJean-Sébastien Bach"Suite n° 2 pour violoncelle"
DécorateurP.A. Lundgren
Costumier Mago
MaquilleurBörje Lundh
MonteurUlla Ryghe
ScriptKatharina Farago
RégisseurLars-Owe Carlberg

générique artistique

Ingrid Thulin(Märta Lundberg)
Gunnar Björnstrand(Thomas Ericsson)
Max von Sydow(Jonas Persson)
Gunnel Lindblom(Karin Persson)
Allan Edwall(Algot Frovik)
Kolbjörn Knudsen(Knut Aronsson)
Olof Thunberg(Frederik Blom)
Elsa Ebbesen(Magdalena Ledfors)
Tor Borong(Johan Akerblom)
Bertha Sånnell(Hanna Appelblad)
Helena Palmgren(Doris Appelblad)
Eddie Axberg(Johan Strand)
Lars-Owe Carlberg(l'inspecteur)
Ingmari Hjort(la fille Persson)
Stefan Larsson(le fils Persson)
Johan Olafs(le gentleman)
Lars-Olof Andersson(un fils Fredriksson)
Christer Öhman(un fils Fredriksson)

Bibliographie

Synopsis

Le pasteur d'un petit village suédois célèbre, un dimanche, le culte du matin. Après l'office, un ménage dont l'homme, Jonas, est obsédé par la menace atomique, vient lui confier son angoisse. Le pasteur ne peut rien répondre : lui-même sent sa foi chanceler devant le « silence de Dieu ». Sorti du temple, Jonas va se suicider. Depuis la mort de sa femme, le pasteur entretient avec l'institutrice, Martha, une liaison médiocre et sans amour de sa part. Encore une fois, Martha essaie en vain de le ressaisir. Il s'achemine sans conviction vers le village où il doit célébrer le service de l'après-midi. Et, tandis qu'il se demande, dans le temple rempli des seuls fidèles du matin, s'il va oser célébrer, le sacristain lui fait part de sa propre méditation sur le Christ qui, à l'agonie, a lui-même éprouvé ce silence de Dieu. Alors, le pasteur commence à célébrer en acceptant, semble-t-il, la foi dans sa nudité.
© Les fiches du cinéma 2003
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