Les Arpenteurs (1971) Michel Soutter

Pays de productionSuisse
Sortie en France01 novembre 1972
Durée80 mn

Générique technique

RéalisateurMichel Soutter
Assistant réalisateurMichel Schopfer
ScénaristeMichel Soutter
Société de production Groupe 5 (Genève)
Société de production RTS - Radio Télévision Suisse (Genève ; Lausanne)
Producteur déléguéYves Gasser
Distributeur d'origine Les Films Saint André des Arts (Paris)
Directeur de la photographieSimon Edelstein
Ingénieur du sonMarcel Sommerer
MixeurPeter Begert
Compositeur de la musique préexistanteJohannes Brahms
Compositeur de la musique préexistanteFranz Schubert
MonteurJoële Van Effenterre

générique artistique

Marie Dubois(Alice)
Jean-Luc Bideau(Léon)
Jacques Denis(Lucien)
Jacqueline Moore(Anne)
Michel Cassagne(Max)
Armen Godel(l'avocat)
Germaine Tournier(la mère d'Alice)
Benedict Gampert(le fiancé d'Alice)
Nicole Zufferey(la femme de Lucien)
William Jacques(le brigadier Painlon)
Constantin Soutter(un enfant)
Simon Soutter(un enfant)

Bibliographie

Périodiques

Synopsis

Un arpenteur, Léon, dit "Coeur de Lion", rencontre Lucien. Lucien est amoureux de sa voisine Alice Taillefer dont la vertu "cascade" facilement. Il demande à Léon d'apporter à Alice un panier de légumes. Comme la casquette de Lucien semble plaire à Léon, Lucien la lui donne... Léon va chez Alice, la trouve très mignonne, brune, avec un charmant accent anglais. La belle n'est pas farouche, Léon en profite. Le lendemain, Léon rencontre à nouveau Lucien et lui avoue les doux instants passés auprès d'Alice. Celui-ci semble fort déçu! Léon rend à nouveau visite à Alice et se trouve face à face avec une jeune femme blonde, mystérieuse. Alice Taillefer? c'est elle. Mais l'autre? L'Alice d'hier? La vraie Alice ne comprend pas. Elle rend à Léon sa casquette qu'il ne reconnaît pas. Plus tard, il fait la connaissance d'Eugène, le fiancé d'Alice, que cette dernière traite fort mal. Il semble bien qu'Alice soit sensible au charme de Léon, mais Léon trouve cette Alice-là un peu godiche par rapport à celle de la veille... Léo n se creuse la cervelle. Où est "Alice"? Peut-être a-t-elle été assassinée? Mû par cette pensée, Léon se précipite au commissariat. Pendant ce temps, rêveuse, Alice a donné un coup de téléphone. Peu après, arrive Ann. Ann est mignonne, brune, elle parle français avec un charmant accent anglais. Ann lui explique qu'elle est entrée hier chez Alice pour téléphoner juste quand Léon est survenu, d'où la méprise... Quand Léon revient, Ann lui dit que ni Alice, ni elle, ne désirent plus jamais le revoir. Léon s'en va, éructant des injures...
Copyright, 1995 CMC/Les Fiches du Cinéma
Logo

Exploitation