Prudence and the Pill (1967) Fielder Cook

Prudence et la pilule

Pays de productionGrande-Bretagne
Sortie en France19 juillet 1968
Procédé image35 mm - Couleur
Durée95 mn

Générique technique

RéalisateurFielder Cook
Auteur de l'oeuvre originaleHugh Millsd'après le roman "Prudence and the pill"
AdaptateurHugh Mills
Distributeur d'origine 20th Century Fox Corporation
Directeur de la photographieTed Moore
Ingénieur du sonAlbert Ross
Compositeur de la musique originaleBernard Ebbinghouse
Directeur artistiqueFred Carter
MonteurNorman Savage

générique artistique

Deborah Kerr(Prudence Hardcastle)
David Niven(Gerald Hardcastle)
Irina Demick(Elizabeth)
Robert Coote(Henry Hardcastle)
Joyce Redman(Grace Hardcastle)
Judy Geeson(Geraldine Hardcastle)
Hugh Armstrong
David Dundas
Edith Evans
Keith Michell
Vickery Turner

Bibliographie

Synopsis

Gerald Hardcastle, gentleman anglais traditionnaliste et assez hypocrite, est président de deux grandes banques et marié à Prudence, une femme qu'il n'aime plus et qui lui témoigne une grande froideur en retour. Pour se distraire, Gerald a une ravissante maîtresse, Elizabeth, et de son côté Prudence a un amant. Cette situation pourrait durer indéfiniment si, un soir, le frère de Gerald, Henry et sa femme Grâce ne surprenaient leur fille, Géraldine, couchée avec un jeune homme, Tony. Celle-ci s'empresse d'affirmer à sa mère qu'elle ne risque rien car elle prend des pilules. Ce sont même les propres pilules de sa mère qu'elle prend, les ayant remplacées par de l'aspirine à même apparence. Ainsi, si Géraldine ne risque rien, sa mère, elle, ne va pas tarder à être enceinte. Henry va raconter l'histoire, qu'il se garde bien de prendre au tragique, à son frère. Gerald se souvient soudain avoir vu traîner ce genre de pilules (du « thenol ») dans la coiffeuse de sa femme. C'est là la preuve évidente que Prudence a un amant. Il décide alors d'employer le subterfuge de Géraldine et de remplacer les pilules de sa femme par de l'aspirine, ceci afin que sa femme devienne enceinte de son amant et qu'il puisse enfin divorcer. Cet espoir sera cruellement déçu car l'aspirine de Prudence lui sera subtilisée par sa bonne. Rose, qui croyant mettre la main sur des pilules, les remplacera par des soi-disant vitamines que lui a données son amant, Ted, lesquelles vitamines ne sont en fait que des pilules, Ted ayant recouru à un subterfuge pour en faire prendre à Rosé qu'il pensait hostile à ce genre de précautions. De fil en aiguille, d'aspirine en vitamines, toutes les femmes de cette ténébreuse histoire se retrouveront enceintes. Mais tout s'arrangera pourtant pour le mieux. Divorcé de Gerald, Prudence épousera son amant, le Dr Hervitt. Gerald, lui, se remariera avec sa maîtresse, et la jeune Géraldine, instrument involontaire du destin dans cet imbroglio, pourra épouser le jeune Tony avec la bénédiction de la tutrice de ce dernier, Lady Bates, l'une des femmes les plus riches du monde.
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