Messalina, venere imperatrice (1959) Vittorio Cottafavi

Messaline

Pays de productionItalie
Sortie en France26 janvier 1962
Procédé image35 mm - Couleur
Durée96 mn

Générique technique

RéalisateurVittorio Cottafavi
Réalisateur seconde équipeDuccio Tessari
Assistant réalisateurDuccio Tessari
Assistant réalisateurFranca Franco
ScénaristeEnnio De Concini
ScénaristeMario Guerra
ScénaristeDuccio Tessari
Société de production Cineproduzione Emo Bistolfi
ProducteurEmo Bistolfi
Directeur de productionRenato Tonini
Directeur de la photographieMarco Scarpelli
CadreurPasqualino De Santis
Ingénieur du sonLuigi Puri
Compositeur de la musique originaleAngelo Francesco Lavagnino
DécorateurFranco Lolli
DécorateurElio Costanzi
CostumierDina Di Bari
MonteurLuciano Cavalieri
Coordinateur des effets spéciauxEros Bacciucchi
Maître d'armesGiorgio Ubaldi

générique artistique

Belinda Lee(Valeria puis Messaline)
Spiros Fokas(Lucio Massimo)
Carlo Giustini(Lusio Geta)
Giancarlo Sbragia(Aulo Celso)
Arturo Dominici(Caio Silio)
Giulio Donnini(Narciso)
Ariana Galli(Silvia)
Marcello Giorda(Claudio)
Annie Gorassini(la courtisane)
Mino Doro(Sulpicio)
Aroldo Tieri(Pirgo Pollinice)
Giuliano Gemma
Lia Angeleri
Vittorio Congia
Spartaco Nale
Vladimiro Fochi
Mimmo Poli
Pietro Di Giulio
Nino Orsini
Bruno Scipioni
Benito Stefanelli
Calisto Calisti
Bruna Cealti
Giorgio Zucca
Nando Angelini
Alfio Caltabiano
Antonio Corevi
Gilberto Mazzi
Roberto Caporale
Alberto Plebani
Paola Di Mario

Bibliographie

Synopsis

En 1941, Caracalla, l'empereur fou est assassiné et Claudius lui succède. Au cours d'une orgie, le centurion Lucius Maximus franchit la clôture de la maison des Vestales, rencontre Valeria, novice vestale : au premier regard naît un amour mutuel. Quelques jours plus tard, Lucius est envoyé prendre un commandement en Arménie ; Valeria, fiancée à Claudius, a usé de son crédit pour éloigner l'officier. Quatre ans plus tard, Lucius Maximus revient. Il constate que l'impératrice Messaline est honnie par tout le peuple, et retrouve deux amis de jeunesse : le centurion Lucius Geta, qui est fidèle à l'impératrice, et le sénateur Aulus Celsus qui défend la plèbe, même contre les prétoriens de Messaline venus pour les spolier de leur terre. Dès qu'elle apprend la présence de Lucius Maximus à Rome, l'impératrice le fait appeler. Il n'est pas peu surpris de reconnaître Valeria. Messaline se donne à lui et cherche à se l'attacher, mais elle est devenue un monstre de cruauté politique : elle a empoisonné Sulpicius qui l'a mise sur le trône, et fait assassiner Marcellus, jeune patricien venu la poignarder au nom de son parti. De même, elle fait égorger Aulus Celsus et, enfin dépris de sa passion pour elle, Lucius Geta, désespéré, s'empoisonne. Tout ceci ouvre les yeux de Maximus qui a, par ailleurs, un sentiment tendre pour une jeune chrétienne, Sylvia. Narcissus, l'affranchi de Claudius, qui résiste à l'impératrice parce qu'il est homosexuel, a connaissance d'un complot ourdi par Messaline et le chef des patriciens Caius Silius, contre la vie de l'empereur. Au cours d'un voyage, celui-ci est attaqué par les prétoriens commandés par Fonteius, nouvel amant de l'impératrice, mais Maximus et ses soldats d'Arménie le sauvent ; Fonteius est tué. Narcissus fait annoncer la mort de l'empereur : Messaline fait couroner Silius, mais les troupes loyalistes surviennent au cours de l'orgie du couronnement : Silius et Messaline sont massacrés. Lucius Maximus quitte Rome avec Sylvia et les chrétiens.
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