O Pagador de promessas (1961) Anselmo Duarte

La Parole donnée

Pays de productionBrésil
Sortie en France27 juin 1962
Procédé image35 mm - NB
Durée98 mn

Générique technique

RéalisateurAnselmo Duarte
Assistant réalisateurJosé Teles
Assistant réalisateurRuy Rosado
Auteur de l'oeuvre originaleAlfredo Dias Gomesd'après la pièce "O Pagador de promessas"
AdaptateurAnselmo Duarte
Société de production Oswaldo Massaini Productions
ProducteurOswaldo Massaini
Directeur de productionRoberto Ribeiro
Distributeur d'origine SNC - Société Nouvelle de Cinématographie
Directeur de la photographieChick Fowle
CadreurGeraldo Gabriel
Ingénieur du sonCarlos Foscolo
Compositeur de la musique originaleGabriel Migliori
DécorateurJosé Teixeira de Araújo
MaquilleurGilberto Marques
MonteurCarlos Coimbra
ScriptAdelice Araújo
Coordinateur des effets spéciauxJosef Reindl

générique artistique

Leonardo Vilar(Ze)
Glória Menezes(Rosa)
Dionisio Azevedo(le père Olavo)
Norma Bengell(Marli)
Geraldo del Rey(Bonifao)
Roberto Ferreira(Dédé)
Othon Bastos(le reporter)
Gilberto Marques(Galego)
Carlos Torres(Monseigneur)
Antonio L. Sampaio(Coca)
Milton Gaucho(le policier)
João Di Sordi(le détective)
Irenio Simões(l'éditeur)
Enoch Torres(l'inspecteur)
Maria Conceição(la tante)
Veveldo Diniz(l'employé de l'église)

Bibliographie

Périodiques

Synopsis

Zè, paysan à l'âme simple, a fait un voeu. S'il obtient la guérison de son âne, il portera une lourde croix jusqu'au pied de l'autel de Sainte Barbara. Maïs ce voeu, il l'a fait pendant les fêtes consacrées à la déesse Yazan (les rites catholique et fétichiste sont, comme nous le verrons plus bas, fréquemment confondus au Brésil). Sa demande ayant été exaucée, Zè tient parole. Accompagné de sa femme, il part donc, la croix sur l'épaule, vers son dur pèlerinage dont il parvient au terme pendant la nuit, après une marche épuisante de 7 lieues. Au matin, il demande au curé la permission d'entrer dans l'Eglise. Ce dernier, que les pratiques fétichistes locales ont rendu vigilant, refuse. Aussitôt la population, la presse puis la politique s'emparent de l'incident. La police doit intervenir. Au cours de l'émeute qui s'ensuit, Zè est abattu par une balle perdue tirée d'un toit voisin. Quelques membres d'une organisation politique placent alors le corps de Zé sur la croix et, s'en servant de bélier, enfoncent la porte de l'Eglise.
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Lieux de tournage

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