C'est arrivé à Aden (1956) Michel Boisrond

Pays de productionFrance

Générique technique

RéalisateurMichel Boisrond
Assistant réalisateurJean-François Hauduroy
Assistant réalisateurJacques Poitrenaud
ScénaristeJean Aurel
ScénaristeMichel Boisrond
Auteur de l'oeuvre originalePierre Benoit
DialoguisteConstance Coline
DialoguisteJacques Emmanuel
Société de production S.B. Films (Paris)
ProducteurSimon Barstoff
Directeur de productionSimon Barstoff
Distributeur d'origine Cocinor - Comptoir Cinématographique du Nord
Directeur de la photographieMarcel Grignon
CadreurRaymond Lemoigne
Ingénieur du sonAntoine Petitjean
Compositeur de la musique originaleGeorges Van Parys
DécorateurRené Moulaert
CostumierFrédéric Junker
CostumierRosine Delamare
CostumierPaulette Coquatrix
MaquilleurAnatole Paris
MaquilleurMarcelle Testard
CoiffeurMarc Blanchard
MonteurClaudine Bouché
ScriptDenise Morlot
RégisseurRené Noël
Photographe de plateauPierre Le Fauconnier

générique artistique

Dany Robin(Albine)
André Luguet(Le gouverneur)
Elina Labourdette(Simone)
Jacques Dacqmine(Burton)
Dominique Page(Lucette)
Robert Manuel(Zafarana)
Jean Bretonnière(Prince de Khamarkar)
Jacques Duby(Gremilly)
André Versini(Lusignan)
Georges Chamarat(capitaine du navire)
Claude Rich(Price)
Michael Lonsdale(Sinclair)
Jacques Ferrière(Joyce)
Michel Etcheverry(Pasteur Sanderman)
Roger Saget(Clairville)
Clément Harari(Abdullah)
Robert Pizani(Hubert Robert)
Bachir Touré(Ali)
Odile Mallet(Elizabeth)
Geneviève Brunet(Margaret)
Edmond Ardisson(le patron)
Charles Lemontier
Madeleine Ganne
Laure Paillette
Maurice Dorléac

Bibliographie

Synopsis

Une troupe française de théâtre ambulant se trouve bloquée à Aden au cours d'une tournée à l'étranger. Les officiers de la garnison anglaise en profitent pour courtiser les trois vedettes débarquées dans leur ville et Albine, la jeune première, devient la maîtresse du Capitaine Burton. Sur ces entrefaites, et le jour même de la représentation donnée par la troupe, le Prince de Khamarkhar arrive à Aden pour y signer un traité avec l'Angleterre. Il assiste à la représentation et apprécie tout spécialement la jeune artiste. Si bien que les pourparlers du traité, qui semblaient longs et pénibles, se trouvent soudain grandement facilités. Du coup, Albine prend une extrême importance, tant aux yeux du Gouverneur que vis-à-vis du directeur de la troupe et de ses camarades de travail. Tout irait donc pour le mieux dans le meilleur des mondes, si Albine se laissait toucher par les inestimables présents que le Prince met à ses pieds. Mais la jeune femme pense, qu'à l'instar de bien des hommes qui la courtisent, « il n'a pas la manière », et elle se moque ouvertement de lui au risque de créer un incident diplomatique. En vain, le Gouverneur aux abois obtient-il le désistement de Burton en lui faisant entrevoir les incidences fâcheuses que sa liaison pourrait avoir sur sa carrière : Albine, blessée, congédie son amant, mais ne se laisse pas acheter davantage. Alors le Prince, las d'attendre le bon plaisir d'une simple femme, la fait enlever. Affaire d'état. Protestation de l'Ambassade de France auprès du Gouverneur anglais. Délégation anglaise, conduite par le Capitaine Burton, auprès du Prince, avec injonction de restituer la captive. Mais celle-ci est devenue captive volontaire car le Prince, fort beau garçon au demeurant, a su la conquérir. avec des arguments non diplomatiques.
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