Péché de jeunesse (1958) Louis Duchesne

Pays de productionFrance
Sortie en France17 juin 1959
Procédé image35 mm - NB
Durée79 mn

Générique technique

RéalisateurLouis Duchesne
Assistant réalisateurLouis Soulanes
ScénaristeLouis Duchesne
ScénaristeMichel Audiard
AdaptateurMichel Audiard
DialoguisteLouis Duchesne
DialoguisteMichel Audiard
Société de production Films René Thévenet
Société de production Contact Organisation
ProducteurRené Thévenet
Directeur de productionJacques Garcia
Distributeur d'origine C.F.F. - Comptoir Français du Film
Directeur de la photographiePaul Cotteret
CadreurGuy Suzuki
Ingénieur du sonJean-Désiré Bertrand
Compositeur de la musique originaleHenri Crolla
Compositeur de la musique originaleAndré Hodeir
DécorateurSydney Bettex
MaquilleurBillie Bonnard
MonteurLouis Devaivre
ScriptAnnie Dubouillon
RégisseurMaurice Touati

générique artistique

Madeleine Robinson(Mathilde Belin)
Agnès Laurent(Catherine)
Gil Vidal(Paul Belin)
René Dary(Léon Bertier, l'oncle)
Evelyne Ker(Germaine, la bonne)
Maurice Sarfati(René Perrin)
Michèle Dimitri(Evelyne)
Françoise Alban(Charlotte Bertier, la tante)
Georges Baconnet(l'oncle de Mademoiselle Burdin)
Liliane Maigné(Mademoiselle Bourdin)
Robert Vattier(un pensionnaire)
Camille Guérini(le curé)
Marcelle Arnold(Madame Rapine, la pâtissière)
Pierre Ferval(un joueur de billard)
Albert Michel(un joueur de billard)
Jean Dunot(le portier de l'hôtel)
Luce Fabiole(la veuve)
Tania Soucault(la bonne de l'hôtel)
Georgette Peyron
Charles Bayard
Robert Blome

Bibliographie

Périodiques

Synopsis

Paul vit dans sa petite ville de grande banlieue, couvé par Mathilde Belin, sa mère, que son mari a abandonnée lorsque le garçon était tout jeune et qui a reporté sur lui une tendresse exclusive. Pour vivre, elle exploite une pension de famille sur les clients de laquelle elle n'est pas trop exigeante, pourvu que les apparences soient sauves. Le dimanche, la mère et le fils retrouvent à la messe tante Charlotte, une vieille fille à langue de vipère, et la bourgeoisie du lieu, tandis que l'oncle Léon, un fieffé coureur de cotillon, passe cette heure au café. Aucune autre distraction pour le jeune étudiant jusqu'au jour où il rencontre Catherine, serveuse de la pâtisserie, une orpheline de l'assistance un peu romanesque. C'est d'abord une amourette timide qui s'ébauche, puis la liaison s'affirme tandis que Paul, pour avoir un peu de liberté, raconte à sa mère qu'il joue au football. Tante Charlotte surprend un départ à Paris des deux amants et en avertit Mathilde. Au cours de l'excursion, dans un hôtel du quartier latin, Catherine se donne à Paul et au retour celui-ci doit subir l'assaut de sa mère. Comme toujours, celle-ci l'emporte et obtient, sous prétexte d'éprouver leur amour, une rupture pratique. Mais Catherine est enceinte et Paul veut l'épouser ; Mathilde cherche à la faire avorter et abandonner par son fils. Catherine qui, sans illusion, désire l'enfant, s'enfuit à Paris où, un beau soir, excédé par la domination maternelle, Paul, aidé par son oncle Léon, fuit la rejoindre et l'épouser tandis que Mathilde, ne réalisant guère qu'elle perd son fils par sa faute, pleure sur une telle ingratitude.
© Les fiches du cinéma 2001
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Exploitation

Tournage

Dates de tournage

Début : 13 janvier 1958
Fin : 22 février 1958

Palmares