Un aller simple (1970) José Giovanni

Pays de productionFrance ; Italie ; Espagne
Sortie en France19 mai 1971

Générique technique

RéalisateurJosé Giovanni
Assistant réalisateurAlain Corneau
Auteur de l'oeuvre originaleHenry Edward Helseth
DialoguisteJosé Giovanni
Société de production Cité-Films (Paris)
Société de production Copercines (Madrid)
Société de production Rizzoli Film (Roma)
Société de production Valoria Films (Paris)
Directeur de productionJacques Rouffio
Directeur de productionLéon Sanz
Distributeur d'origine Valoria Films (Paris)
Directeur de la photographiePierre-William Glenn
Ingénieur du sonPierre Lenoir
Ingénieur du sonJean Rieul
Compositeur de la musique originaleFrançois de Roubaix
DécorateurJacques Saulnier
MonteurKenout Peltier

générique artistique

Jean-Claude Bouillon(Marty)
Nicoletta(Rose)
Jean Gaven(Dietrich)
Paola Pitagora(Lucile)
Alain Mottet(Nilesse)
Paul Beauvais(Palmer)
Serge Davri(le Balafré)
Jean de Coninck(Leggett)
Philippe Brizard(gardien de prison)
Gabriel Briand(le cascadeur)
Rufus(Tom Mills)
Ottavia Piccolo(Tina)
Giancarlo Giannini(Weber)
Adolfo Geri(Volterra)
Aldo De Carellis(le veilleur de nuit)
Bernabé Barta Barri(Berck)
Lorenzo Robledo(François)
José María Caffarel(le réceptionniste)
Ricardo Valle
Sergio Mendizábal
José Bódalo

Bibliographie

Synopsis

Marty ne s'illusionnait pas : avec son ami Tom, il avait agressé, volé, pillé ; aujourd'hui, Tom était mort et lui était couché dans un lit d'hôpital avec la guillotine au bout de sa guérison. Marty reconnut loyalement ses fautes, mais lorsqu'un avocat véreux lui proposa d'endosser en plus le hold-up commis par un certain Leagett et la complice de ce dernier, il refusa. Alors l'avocat menaça de compromettre Teena, dont le signalement pouvait correspondre à celui de l'amie de Leagett. Teena, c'était l'amour de Marty, un amour qu'il avait préservé de toute souillure. Et pour sauver cet amour, Marty, prêt à tout, décida de retrouver la vraie coupable. Malgré ses blessures mal refermées, il s'évada de l'hôpital et découvrit le butin du hold-up (de superbes diamants) chez l'avocat qu'il fut forcé de supprimer. Poursuivi par la police, cerné dans une usine, Marty parvint cependant jusqu'à Liège chez « La Balafre », un receleur qui le cacha chez une drôle de fille, Rosy. Marty devina en elle la complice de Leagett. L'ayant attirée dans un piège, il la livra avec les diamants à l'inspecteur Mandel. Puis, il retourna en prison attendre son heure. Il revit Teena, disculpée, sauvée. Et c'est en encourageant Leagett qu'on allait exécuter avec lui que Marty marcha vers la mort.
© Les fiches du cinéma 2001
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Exploitation

Tournage

Dates de tournage

Début : 12 octobre 1970
Fin : 20 décembre 1970

Lieux de tournage