Je plaide non coupable (1955) Edmond T. Gréville

Pays de productionFrance ; Grande-Bretagne
Sortie en France22 août 1956
Procédé image35 mm - NB
Durée93 mn

Générique technique

RéalisateurEdmond T. Gréville
ScénaristeEdmond T. Gréville
Auteur de l'oeuvre originaleMichael Gilbert
DialoguisteEdmond T. Gréville
Société de production Elysée Films
Société de production Gibraltar Productions (London)
Directeur de productionFred d' Orengiani
Distributeur d'origine Les Films Corona (Paris)
Directeur de la photographieJacques Lemare
CadreurGustave Raulet
Ingénieur du sonRené-Christian Forget
Compositeur de la musique originaleJean Wiener
DécorateurEugène Piérac
MonteurJean Ravel
ScriptLucie Lichtig
RégisseurMaurice Hartwig
Photographe de plateauJacques Boutinot

générique artistique

Franck Villard(Pierre Lemaire)
Andrée Debar(Victoria Martin)
John Justin(Nap Rumbold)
Barbara Laage(la dame de l'Interpol)
Marcel Lupovici(un truand)
Lucien Callamand
Noël Darzal
Margo Lion(Madame Gimelet)
Stephen Murray(Summers)
Russell Napier(l'inspecteur Hobson)
Gaston Orbal
Leslie Perrins(Poynter)
Kynaston Reeves(le colonel Wright)
Jacqueline Sassard
Betty Stockfeld(Madame Roper)
Sydney Tafler(Camino)
Donald Wolfit(le juge)
Norman Wooland(Pelton)

Bibliographie

Périodiques

Synopsis

Procès à Londres : une jeune Française, Victoria Martin, réceptionnaire d'un hôtel, est accusée d'avoir poignardé son amant, l'Anglais Julien Wells ; trois témoins, dont le barman et une cliente, certifient n'avoir vu personne d'autre pénétrer dans la chambre de la victime. Comme Victoria avait connu Wells dans le maquis, France-Soir expédie au procès un ancien résistant. Celui-ci retrouve à Londres un camarade de guerre. Tous deux convaincus de l'innocence de Victoria, ils lui trouvent un avocat qui accepte de plaider non-coupable et décident de mener une enquête privée. Le journaliste s'enquiert du passé des témoins, mais son indicateur est assassiné. Il part pour Avignon : c'est là que Victoria et Wells s'étaient connus. Un notaire malade et muselé par sa femme lui donne l'adresse d'un vignoble voisin ; il n'y trouve que le gérant, mais il manque d'être tué en rentrant avec sa voiture sabotée. Attiré ensuite dans une fabrique en ruines, il n'échappe au guet-apens qu'en sautant à la rivière. Repêché par la police, il emmène les inspecteurs sur les lieux. A Londres, le verdict est imminent ; mais la défense a récusé le témoignage de la cliente de l'hôtel, convaincue de fausse identité : elle est la femme du propriétaire du vignoble d'Avignon. Les deux amis, aidés de la police, cueillent ainsi une bande de faux-monnayeurs recherchés par l'interpol et tout s'éclaire au tribunal : les billets arrivaient à Londres dans des fûts de vin : la bande comptait d'anciens maquisards et s'était installée dans les souterrains et cachettes du maquis ; Wells s'était laissé embaucher et comme il devenait gênant, le chef, qui n'était autre que le patron de l'hôtel, avait décidé de le supprimer. Victoria, ignorante de tout, avait, au retour de la captivité où son enfant était mort, retrouvé un Wells bien changé : refus de vie commune et explication violente. La bande avait imaginé profiter des circonstances pour camoufler l'assassinat de Wells en crime passionnel. Tout s'achève tendrement : le journaliste avec Victoria et son ami avec un certain agent de l'interpol, bien encombrante au cours de l'enquête.
© Les fiches du cinéma 2001
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Exploitation

Tournage

Dates de tournage

Début : 14 novembre 1955
Fin : 15 janvier 1956

Lieux de tournage