La Roue (1956) André Haguet

Pays de productionFrance
Sortie en France 1957

Générique technique

RéalisateurAndré Haguet
Assistant réalisateurMarcel Camus
Assistant réalisateurMaurice Delbez
Assistant réalisateurRobert Mazoyer
ScénaristeO.-P. Gilbert
Auteur de l'oeuvre originaleAbel Gance
AdaptateurO.-P. Gilbert
Société de production Florida Films (Paris)
Directeur de productionMaggie Gillet
Distributeur d'origine Jeannic Films
Directeur de la photographiePierre Petit
Directeur de la photographieLucien Joulin
CadreurNoël Martin
Ingénieur du sonJulien Coutellier
Compositeur de la musique originale Louiguy
DécorateurLucien Aguettand
MaquilleurBoris de Banow
MonteurLéonide Azar
MonteurSuzanne Rondeau
ScriptAlice Ziller
RégisseurClaude Hauser
RégisseurMarcel Correnson
Coopérateur techniqueMaurice Delbez
Photographe de plateauRobert Joffres

générique artistique

Jean Servais(Pierre Pelletier)
Catherine Anouilh(Mary et Norma)
Pierre Mondy(Jean Marcereau)
Yvette Etiévant(Marcelle)
Claude Laydu(Roland Pelletier)
François Guérin(Marchand)
Julien Bertheau(Périer)
Georges Chamarat(l'ophtalmologiste)
Charles Bouillaud(un homme)
Carmen Duparc(Marie)
Paul Péri(Blin)
Georges Jamin(le chef de poste)
Louis Viret(le chef de gare)
Paul Mercey(Pujol)
Emile Riandreys(un cheminot)
René Berthier
Jacqueline Doyen
Max Amyl
Jacques Ary
Bruno Balp
Yvonne Jacquemot
Colette Ricard
Jean Filliez
Jean Degrave
Antonin Baryel
Elyane Saint-Jean
Christine Capri
Jacqueline Gay

Bibliographie

Synopsis

En juin 1940, le mécanicien Pierre Peltier recueille une fillette de trois ans dont la mère vient d'être tuée par un bombardement. Peltier décide d'envoyer en Bretagne la petite Norma où elle sera élevée avec son propre fils Roland. Peltier est veuf et ces deux enfants sont sa seule joie. Les années de guerre et d'occupation se déroulent. Au cours d'un mitraillage de son train, Peltier est cruellement blessé aux yeux. Il guérira, assisté de sa soeur Marcelle et de son chauffeur et ami Marcereau, mais sa vue deviendra fragile. L'occupation, la guerre ne sont plus qu'un affreux souvenir. Quinze ans se sont écoulés. Peltier peut enfin faire venir à Lyon, dans sa maison repeinte et accueillante, ses enfants restés si longtemps en Bretagne. Norma est devenue une ravissante jeune fille, le vivant portrait de sa mère. Roland est le plus affectueux des frères pour Norma. Il lui fait connaître un de ses camarades, jeune officier aviateur. Peltier, si heureux du retour de ses enfants, est quelque peu troublé par la présence de Norma qu'il n'a pas vu grandir auprès de lui et qui n'est pas sa fille. D'autre part, sa vue faiblit et il lui faut renoncer à conduire sa locomotive. Il doit accepter à sa grande humiliation de travailler dans les ateliers de réparation. A bout de souffrance, dans une violente colère, il reproche à Norma de recevoir le jeune aviateur en son absence et d'être sa maîtresse. La jeune fille accablée fuit la maison et Roland, parti faire un stage de technicien pour conduire les locomotrices, n'est même pas là pour la consoler. Finalement Peltier, sauvé par l'amitié indéfectible et lucide de Marcereau, soutenu par une soeur intelligente et juste, se réconciliera avec ses enfants et apprendra à Norma qui elle est avant qu'elle n'épouse le jeune officier qu'elle aime.
© Les fiches du cinéma 2001
Logo

Exploitation