Méfiez-vous mesdames ! (1963) André Hunebelle

Pays de productionFrance ; Italie
Sortie en France30 octobre 1963

Générique technique

RéalisateurAndré Hunebelle
ScénaristePierre Foucaud
ScénaristeJean Halain
Auteur de l'oeuvre originaleAnge Bastiani
DialoguisteJean Halain
Société de production P.A.C. - Production Artistique et Cinématographique
Société de production S.N.E.G. - Société Nouvelle des Établissements Gaumont
Société de production Zebra Film (Roma)
ProducteurPaul Cadéac
Directeur de productionCyril Grize
Directeur de la photographieRaymond Lemoigne
Ingénieur du sonRené-Christian Forget
Compositeur de la musique originaleMichel Magne
DécorateurRené Moulaert
MonteurJean Feyte

générique artistique

Paul Meurisse(Charles)
Michèle Morgan(Denise)
Danielle Darrieux(Edwige)
Sandra Milo(Madame Henriette)
Gaby Sylvia(Florence)
Yves Rénier(Christian)
Martine Sarcey(Colette)
Serge Marquand(Paulo)
Guy Piérauld(Bébert)
Henri Attal(Jules)
Paul Bisciglia(le barman)
Marcel Pérès(le gardien de prison)
Kempetian(un prisonnier)
Dominique Zardi(un prisonnier)
Georges Aubert
Jacques Boyer
Christian Brocard
Henri Coutet
Renée Gardès
Gisèle Grimm
Mag-Avril
Jacques Marin
Joël Monteilhet
Léon Zitrone

Bibliographie

Synopsis

En prison par la faute d'Edwige, une cliente farfelue qu'il a voulu sauver, Charles, grand avocat, apprend bientôt de ses codétenus les règles essentielles de l'art de séduire les femmes. Dès sa mise en liberté, son premier soin est donc de faire paraître l'annonce classique dans les petites annonces du Figaro : « Monsieur bien sous tous les rapports, situation libérale, etc... ». L'oeil de velours, le sourcil fatal et le vocabulaire convaincant, notre irrésistible séducteur reçoit dès le lendemain un important courrier qu'il trie, préparant ses « offensives de la journée ». La première victime est une séduisante jeune femme, Florence, horriblement bavarde, qui avoue avec peine avoir perdu quatre maris. Les morts insolites des « chers disparus » inquiètent Charles qui voit en cette Florence, quatre fois veuve, un Landru en jupons. Revenu à son hôtel, Charles constate que la patronne est amoureuse de lui ! Elle rêve à l'homme sûr qui l'épaulera pour ouvrir la pâtisserie-salon de thé qu'elle désire. Mais Charles a d'autres ambitions. La seconde victime est Gisèle. Blonde, regard angélique, élégante, romantique. mais cette jeune femme passionnée révèle bientôt à Charles ses noirs desseins : supprimer un mari odieux. Epouvanté, Charles songe pourtant à exploiter la situation. Tout en continuant à voir Gisèle, il tente une autre aventure auprès d'une ravissante châtelaine, Colette, mais tombe dans un affreux guet-apens. Entre temps, Charles retrouve Edwige pour qui il purgea la peine de prison citée plus haut. Plus folle, plus ravissante et plus ensorcelante que jamais, Edwige saura encore berner ce sot avocat. Ce dernier se réfugie finalement près de sa logeuse et confectionne des gâteaux à la crème pour son salon de thé. non sans rêver à de futures petites annonces.
© Les fiches du cinéma 2001
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