Les Arnaud (1967) Léo Joannon

Pays de productionFrance ; Italie
Sortie en France13 octobre 1967
Durée89 mn

Générique technique

RéalisateurLéo Joannon
Assistant réalisateurRoger Dallier
ScénaristeLéo Joannon
AdaptateurLéo Joannon
AdaptateurJacques Robert
DialoguisteJacques Robert
Société de production Flora Film (Roma)
Société de production Les Productions Belles Rives (Paris)
Société de production SNC - Société Nouvelle de Cinématographie
ProducteurMichel Ardan
Directeur de productionGuy Lacourt
Distributeur d'origine SNC - Société Nouvelle de Cinématographie
Directeur de la photographieCharly Willy-Gricha
CadreurAdolphe Charlet
Ingénieur du sonJulien Coutellier
Compositeur de la musique originaleFranck Pourcel
Auteur des chansons originalesSalvatore Adamo
MaquilleurLouis Dor
MonteurJean Feyte
ScriptCécilia Malbois
RégisseurJean-Philippe Mérand
Photographe de plateauHenri Thibault

générique artistique

Bourvil(Le Juge Henri Arnaud)
Salvatore Adamo(André Arnaud)
Christine Delaroche(Laetitia)
Marcelle Ranson(La soeur du juge)
Michel de Ré(L'antiquaire Josseron)
Suzanne Courtal
Gérard Croce
Martial Rèbe(un avocat)
Rémy Longa(un boxeur)
Alain Doutey
Paul Trajan
Xavier Fonty
Gisèle Grandpré

Bibliographie

Synopsis

Henri Arnaud est un brave homme de juge qui exerce ses fonctions au tribunal pour enfants d'Aix-en-Provence. Il s'intéresse à un jeune homme, son homonyme, André Arnaud, étudiant en droit qui vient souvent, en complément de ses cours, assister au déroulement des procès. André n'a pas connu sea parents. Il peut cependant poursuivre ses études grâce aux mandats que lui envoie régulièrement son oncle, un maçon. Un jour, celui-ci se tue sur un chantier. Privé de ressources, André se trouve dans un grand désarroi. Il fait une démarche auprès d'un antiquaire, connu comme prêteur. Celui-ci, personnage sordide, accepte de prêter à André la somme dont il a besoin mais à des conditions moralement inacceptables. Quand il voit la révolte du jeune homme, l'antiquaire menace de faire un chantage, en déclarant qu'il va appeler la police et lui annoncer que le jeune homme s'est introduit chez lui pour le cambrioler. Pris de panique, André tire sur l'antiquaire qui meurt aussitôt. Un autre étudiant est accusé à sa place, puis bientôt libéré. Le juge Arnaud a peu à peu compris que son protégé est le véritable coupable. Habilement, il l'amène à lui avouer la vérité. Le juge déclare ensuite qu'il a pris la décision de l'adopter. Il veut absolument que l'adoption soit faite avant qu'André aille se rendre à la police. Parallèlement, la police poursuit son enquête. Un jour, elle fait son entrée à la Faculté, et le doyen, poussé par les étudiants, intercède pour que les interrogatoires n'aient pas lieu dans les locaux de la Faculté. Ce qui sauve de peu André, qui allait devoir répondre à des questions plutôt embarrassantes pour lui. Enfin, les papiers légalisant l'adoption sont signés. De son côté, le juge a démissionné. Plus ou moins complice d'André puisqu'il a partagé, sans le révéler, son secret, il doit aussi se rendre à la police, et ne veut pas le faire en tant que magistrat. Les deux hommes se rendent ensemble à la justice, espérant une décision clémente.
© Les fiches du cinéma 2003
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