Thérèse Etienne (1957) Denys de La Patellière

Pays de productionFrance ; Italie
Sortie en France07 février 1958
Durée90 mn

Générique technique

RéalisateurDenys de La Patellière
Assistant réalisateurJacques Deray
Assistant réalisateurRobert Mazoyer
ScénaristeRoland Laudenbach
ScénaristeDenys de La Patellière
Auteur de l'oeuvre originaleJohn Knittel
DialoguisteRoland Laudenbach
Société de production Cité-Films (Paris)
Société de production Monica Film (Roma)
ProducteurGeorges Agiman
ProducteurJacques Bar
Directeur de productionWalter Rupp
Directeur de la photographieRoger Hubert
CadreurAdolphe Charlet
Ingénieur du sonWilliam Robert Sivel
Compositeur de la musique originaleMaurice Thiriet
DécorateurPaul-Louis Boutié
CostumierRosine Delamare
CostumierPaulette Coquatrix
MaquilleurMarcel Bordenave
MaquilleurLina Gallet
CoiffeurSimone Knapp
Coiffeur Alexandre de Parispour Françoise Arnoul
MonteurGeorges Alépée
ScriptColette Crochot
RégisseurPhilippe Modave
Photographe de plateauMarcel Dolé

générique artistique

Françoise Arnoul(Thérèse Etienne)
Pierre Vaneck(Gottfried Müller)
Rita Liechti(Frida)
James Robertson Justice(Anton Müller)
Guy Decomble(Rothlisberger)
Josette Vardier(Emma)
Erika Dentzler(Hedwige)
Christiane Navailles(Sophie)
Schwitzgebel(la cousine)
Paul Mercey(Léonard)
Léonce Corne(le notaire)
Jacques Monod(le médecin)
Robert Porte(Félix)
Guy Kerner(le juge)
Georges Chamarat(le président)
François Chaumette(le procureur)
Roger Burckhardt(le prêtre)
Pierre Collet(l'avocat)
Pierre Leproux
René Berthier
Pierre Durou

Bibliographie

Synopsis

Thérèse Etienne, paysanne du Valais, fuit son village pour échapper aux commérages nés depuis que son père a fait de la prison. Elle se réfugie dans le canton de Berne où elle parvient à se faire engager comme domestique dans la ferme d'Anton Muller.Cet Anton Muller qui règne en maître absolu sur son monde et son domaine ne tarde pas à prendre Thérèse à son service « personnel » dans un dessein qu'il doit d'ailleurs vite abandonner car la jeune fille est restée comme il faut. Elle tente même de mettre fin à ses jours pour échapper à l'homme qui veut abuser d'elle. Il n'en faut pas plus pour révéler à Anton quelle perle il a découverte et, lui demandant à peine son avis il l'épouse. Ceci provoque bien vite des réactions très vives, tant dans le personnel de la ferme que dans la famille du maître où l'on voit en Thérèse une intrigante qui en veut à l'héritage. Le jour même de son mariage, Thérèse et le fils de son mari se sont rencontrés et le « coup de foudre » les a frappés. Thérèse résiste bien un peu à l'attirance qu'elle a pour son « beau-flis » mais Anton est par moments tellement grossier, il est si souvent pris de boisson qu'un jour elle se donne à celui qu'elle aime. Anton ne tardera pas découvrir son infortune et sa colère en est d'autant plus forte que l'enfant attendu par Thérèse n'est pas de lui, mais de son fils. Cette colère est si terrible que Thérèse l'empoisonne. Elle lui demandera pardon, mais trop tard. Il meurt. Le remords pousse l'amant à s'accuser lui-même d'avoir commis ce crime. Il est arrêté, jugé. Pendant le procès, Thérèse, que chacun croit innocente, avoue la vérité. Elle est arrêtée. Son fils naîtra en prison.
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