La Carapate (1978) Gérard Oury

Pays de productionFrance
Sortie en France11 octobre 1978
Procédé image35 mm - Couleur
Durée105 mn

Générique technique

RéalisateurGérard Oury
Réalisateur seconde équipeBernard Stora
Assistant réalisateurPatrice Poiré
Assistant réalisateurMarc Rivière
Assistant réalisateurHugues de Laugardière
ScénaristeGérard Oury
ScénaristeDanièle Thompson
DialoguisteGérard Oury
DialoguisteDanièle Thompson
Société de production Gaumont International
Producteur déléguéAlain Poiré
Directeur de productionRobert Sussfeld
Directeur de productionMarc Goldstaub
Distributeur d'origine Gaumont International
Directeur de la photographieEdmond Séchan
CadreurCharles-Henri Montel
Ingénieur du sonJacques Maumont
Compositeur de la musique originalePhilippe Gérard
Interprète des chansons originales Sunset Brothers
ChorégrapheChristiane Casanova
DécorateurJean André
CostumierTanine Autré
MaquilleurPierre Berroyer
CoiffeurMarc Blanchard
MonteurAlbert Jurgenson
ScriptColette Crochot
RégisseurFrancis Peltier
Coordinateur des effets spéciauxJacques Martin
CascadeurRémy Julienne
CascadeurClaude Carliez
Photographe de plateauPaul Apoteker

générique artistique

Pierre Richard(Jean-Philippe Duroc)
Victor Lanoux(Martial Gaulard)
Raymond Bussières(Marcel Duroc)
Jean-Pierre Darras(Jacques Panivaux)
Yvonne Gaudeau(Gisèle Panivaux)
Claire Richard(Blanche Hirondelle)
Jacques Frantz(le commisaire Rocheteau)
Blanche Ravalec(Marguerite)
Claude Brosset(Gustave)
Adrien Cayla-Legrand(le général de Gaulle)
Christian Bouillette(le gardien de prison)
Bernard Granger(Jeannot)
Bruno Balp(Gaston Buteau)
Janine Souchon(Josette Buteau)
Katia Tchenko(la prostituée)
Anne-Marie Jabraud(la voyageuse)
Robert Dalban(le patron de bistrot)
Henri Poirier(le capitaine de CRS)
Roger Riffard(l'automobiliste)
Erick Desmarestz(le juge d'instruction)
Alain Nobis(le bâtonnier)
Janine Darcey(la postière)
Claude Legros(le premier pompiste)
Thi Dung Nguyen(la restauratrice chinoise)
Jacques Verlier(le présentateur)
Alain Doutey(le premier inspecteur)
Henri Attal(le prisonnier armé)
Michel Carnoy(le directeur de la banque)
Jean-François Daniel(le guichetier)
Roger Muni(le caissier)
Daniel Milgram(le brigadier)
Philippe Chauveau(le gendarme)
Gérard Giacchino(le voisin)
Adrienne Servantie(Yvonne de Gaulle)
Régis Porte(un manifestant)
Patrick Floersheim(un prisonnier)
Lucienne Legrand(une femme devant la banque)
Marc Ariche(un étudiant)
Bernard Spiegel(un inspecteur)
Luc Florian(un CRS)
Patrice Melennec(un CRS)
Lucien Privat(un brigadier)
Gilbert Servien(un brigadier)
Georges Atlas(le gardien-chef de la prison)
Christian Brocard(le second pompiste)
Arnaud Liegeois(un enfant)
Vincent Liegeois(un enfant)
Eric Broneer(un enfant)
Georges Broneer(un enfant)
Christian Brincourt(dans son propre rôle de journaliste)
Francis Roussef

Bibliographie

Périodiques

Synopsis

Jean-Philippe Duroc, jeune avocat parisien d'origine modeste, vit avec son vieux père infirme. Le 27 mai 1968, le jeune homme quitte la capitale : il part annoncer à son client, Martial Gaulard, emprisonné à Lyon et condamné à mort, que son pourvoi en cassation a été rejeté. Mais, à peine arrivé, le voilà pris au milieu d'une mutinerie. Comme Martial s'évade après avoir blessé un gardien, son avocat se voit contraint de le suivre pour le ramener à la raison. Pendant ce temps, les forces de l'ordre croient à un coup monté : Duroc serait l'organisateur de la rébellion et le complice de Gaulard. Tous les moyens deviennent donc bons aux deux fugitifs pour semer la police et gagner Paris. L'avocat espère pouvoir plaider la cause de son client auprès du président de la République... même si le condamné ne pense, lui, qu'à rejoindre son amie vietnamienne du Quartier Latin. Après de nombreuses péripéties, Martial vole la voiture de deux riches bourgeois, les Panivaux, qui couraient mettre à l'abri en Suisse leurs principales richesses. Bien vite le couple établit un contact avec les fuyards pour récupérer le magot mais Gaulard parvient à leur escroquer encore une somme considérable. Pendant ce temps, Duroc obtient, de justesse, la grâce présidentielle. Mais il n'est pas au bout de ses peines : pris au milieu d'un combat de rues dans la mêlée des barricades, il est emmené par la police. Toujours considéré comme un dangereux gauchiste, complice des révoltés, il se voit incarcéré. Martial vient alors spontanément se livrer au juge d'instruction et prouver l'innocence de son défenseur... avant de s'enfuir à nouveau à la barbe des policiers.
Copyright, 1995 CMC/Les Fiches du Cinéma
Logo

Exploitation

Tournage

Dates de tournage

Début : 12 avril 1978

Lieux de tournage