Générique technique
 Réalisateur | Georges Perec | |
| Réalisateur | Bernard Queysanne | |
| Assistant réalisateur | Jacques Lederer | |
| Assistant réalisateur | Jean-Pierre Poussin | |
| Scénariste | Georges Perec | |
| Scénariste | Bernard Queysanne | |
| Auteur de l'oeuvre originale | Georges Perec | |
| Société de production | Dovidis (Paris) | |
| Société de production | SATPEC - Société Anonyme Tunisienne de Production et d'Expansion Cinématographiques (Tunis) | |
| Producteur | Pierre Neurrisse | |
| Directeur de production | Noureddine Mechri | |
| Directeur de production | Maïté Pecharman | |
| Directeur de production | Catherine Poubeau | |
| Distributeur d'origine | Dovidis (Paris) | |
| Directeur de la photographie | Bernard Zitzermann | |
| Ingénieur du son | Jean-Pierre Ruh | |
| Mixeur | Paul Bertault | |
| Compositeur de la musique originale | Philippe Drogoz | |
| Compositeur de la musique originale | Eugénie Kuffler | |
| Monteur | Andrée Davanture | |
| Monteur | Agnès Molinard | |
| Photographe de plateau | Claude Schwartz |
générique artistique
| Jacques Spiesser | (le jeune homme) |
| Ludmila Mikaël | (voix) |
Bibliographie
Périodiques
- Cinéma 74, n° 187, mai 1974
- Cinéma 74, n° 189, juillet 1974
- Cinématographe, n° 8, juin 1974
- Ecran 74, n° 26, juin 1974
- Jeune Cinéma, n° 79, juin 1974
- Positif, n° 159, mai 1974
- Revue du Cinéma (La) / Image & Son, n° 284, mai 1974
- Revue du Cinéma (La), n° 464, octobre 1990
- Téléciné, n° 190, juillet 1974
Synopsis
La crise intérieure d'un jeune étudiant qui refuse soudain de continuer à vivre et entame volontairement une existence solitaire et indifférente. Coupant tous les contacts avec l'entourage, il découvre la fascination de l'observation interminable des objets: un mur, un arbre, un jeu de cartes. Les gestes usuels, se vêtir, se nourrir, lire le journal, perdent toute signification. De longues promenades dans Paris, des haltes dans les bars, le mutisme lui permettent de poser un autre regard sur les êtres et les choses. Mais, avec le temps, ce regard débusque le vide, la solitude pèse; le refus de la communication emprisonne, et débouche finalement sur une angoisse de plus en plus insupportable. La vie "d'un homme qui rêve" ne peut satisfaire les besoins de l'individu. L'indifférence forcenée n'a qu'un temps. A l'issue de son "voyage au bout du sommeil", le héros reprend pied dans la vie quotidienne.Copyright, 1995 CMC/Les Fiches du Cinéma
Exploitation
Palmares
- Grand Prix, 1974 au Prix Jean Vigo