Les Truands (1956) Carlo Rim

Pays de productionFrance
Sortie en France27 avril 1956

Générique technique

RéalisateurCarlo Rim
Assistant réalisateurClaude Sautet
ScénaristeCarlo Rim
DialoguisteCarlo Rim
Société de production Franco-London-Film (Paris)
ProducteurHenry Deutschmeister
ProducteurAlain Poiré
Directeur de productionRobert Sussfeld
Directeur de la photographieMaurice Barry
CadreurJean Lalier
Ingénieur du sonJacques Lebreton
Compositeur de la musique originaleGeorges Van Parys
DécorateurSerge Pimenoff
MaquilleurJean-Jacques Chanteau
MonteurMonique Kirsanoff
ScriptOdette Lemarchand
RégisseurIrénée Leriche
Photographe de plateauRobert Cohen
Photographe de plateauMarcel Dolé

générique artistique

Eddie Constantine(Jim Esposito)
Noël-Noël(Cahuzac)
Jean Richard(Alexandre Benoit)
Sylvie(Clarisse Benoit)
Junie Astor(Mademoiselle Puc)
Yves Robert(Amédée et son père)
Lucien Baroux(le curé)
Mireille Granelli(Clarisse, jeune fille)
Denise Provence(la Païva)
Line Noro(Chiffon)
Héléna Manson(Nana)
Gaston Modot(Justin)
Cora Vaucaire(la chanteuse)
Claude Borelli(une femme de Jim)
Antonin Berval(le troisième fils Benoît)
Martine Alexis(une femme de Jim)
Irène Tunc(une femme de Jim)
Ariane Lancell(une fille du saloon)
Béatrice Arnac(Madame Léonce)
Guy Tréjan(Bobby, l'amant de la fille de Cahuzac)
Albert Rémy(l'agent)
Léon Larive(le photographe)
Michel Nastorg(le maire)
André Dalibert(le gendarme)
Jean d' Yd(le grand-père)
Robert Vattier(le duc de Morny)
Daniel Sorano(le barman)
Robert Dalban(Pepito)
Pascal Alexandre(Jim enfant)
Françoise Delbart(la mère des jumeaux)
Claude Godard(une femme de Jim)
Nadine Tallier(une femme de Jim)
Nelly Vignon(Madeleine Cahuzac)
Carine Jansen(une femme de Jim)
Bervil(Ange Bonacci)
Christian Denhez(Amédée enfant)
Grégoire Gromoff
Bernard Musson
René Hell
Jacques Mancier
Pierre Tornade
Henri Cogan
Annick Bertrand
René Berthier
Palmyre Levasseur
Jean Michaud
Nicole Perrier
Yolande Schneider
Maryse Paillet
Yette Lucas

Bibliographie

Synopsis

Au cours de la cérémonie organisée pour fêter ses 103 ans, le doyen de France Amédée Benoît est pris d'une attaque. Au prêtre venu pour l'administrer, il confle un crucifix volé il y a cinquante ans, ce qui ramène à évoquer sa jeunesse. Truands de père en fils, les Benoît font preuve d'une grande conscience professionnelle dans leur « travail ». Entré très tôt dans la carrière, Amédée y déploie son habileté, se marie avec une voleuse à la tire et vit paisiblement au sein de sa famille, jusqu'au jour où l'avènement de la montre-bracelet ruine son industrie. Chacun, désormais, doit s'en tirer comme il peut et, revenus en 1956, nous assistons aux mésaventures d'Alexandre, petit-fils d'Amédée contraint de dérober successivement leur uniforme à un Breton et à un gardien de la paix, non sans avoir dû, au préalable, accoucher une jeune femme. Le métier est dur pour tout le monde, c'est ce que viennent nous raconter sur l'écran les délégués des deux syndicats de truands. Le premier, handicapé par sa myopie, est surpris par l'amant de sa fille à qui il donne une sévère leçon de morale. Le second, incapable de résister aux femmes, se voit entraîner très loin par sa faiblesse. Edifié par ces récits et n'ayant plus rien à attendre d'un monde qui se montre si hostile aux truands, Amédée Benoît rend enfin le dernier soupir.
© Les fiches du cinéma 2001
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