Que les hommes sont bêtes (1956) Roger Richebé

Pays de productionFrance
Sortie en France 1957

Générique technique

RéalisateurRoger Richebé
Assistant réalisateurPierre Lary
ScénaristeRoger Richebé
AdaptateurMarcel Achard
DialoguisteMarcel Achard
DialoguisteFrançois Boyer
Société de production Les Films Roger Richebé
Société de production Paris Overseas Films (Paris)
Directeur de productionAndré Deroual
Directeur de la photographieMichel Kelber
Ingénieur du sonLucien Lacharmoise
Compositeur de la musique originaleHenri Verdun
DécorateurRoger Briaucourt
MonteurYvonne Martin

générique artistique

François Périer(Roland)
Dany Carrel(Sylvie)
Fernand Sardou(Marcel)
Germaine Delbat(Constance)
Pierre Mondy(Joselito)
Jean Lefebvre(Francis)
Bruno Balp
Jacques Chevalier
Jacques Dufilho(un inspecteur)
Jacques Dynam
Gabriel Gobin
Clément Harari
Jean Hébey
René Hell
Jacques Hilling(le commissaire)
Danièle Lamar(Irma)
Louis Massis
Max Montavon(le barman)
Charles Moulin(Justin le Lillois)
Albert Rémy(un inspecteur)
Jackie Rollin
Jacques Sablon
Pierre-Jean Vaillard(le partenaire-séducteur)

Bibliographie

Synopsis

Deux mauvais garçons, Joselito et Francis, sont prévenus par un comparse qui exige d'eux une forte commission en cas de réussite qu'une grosse somme est déposée dans le coffre d'un notaire de province, Roland Devert. Ils décident d'éloigner Roland de son étude en se servant d'une petite caissière de café, Sylvie, qui doit se présenter à l'étude comme une riche cliente, faire du charme et attirer le notaire à Paris. Sylvie réussit parfaitement dans sa mission. Le notaire perd la tête. Joselito et Francis en panne de spécialiste pour coffres-forts décident le patron du café, un ancien, à se remettre au travail. Mais Sylvie, après avoir passé une délicieuse soirée avec Roland, est prise de remords et lui avoue qu'elle n'est qu'une petite bonne. Roland qui avait, pour l'aider, enlevé de ses coffres tout l'argent disponible, soit cinquante millions et les promenait dans une valise, se montre enchanté de la savoir pauvre, ce qui va lui permettre de remettre les millions à leur place sans abandonner Sylvie. Mais la bande de perceurs a visité l'étude et ouvert les deux coffres, en vain bien sûr. Il en résulte tout ensemble que Joselito et Francis se trouvent au petit matin non seulement dans la crainte du comparse, mais en dette vis-à-vis de leur collaborateur, le patron du café ; que Sylvie découvre le passé de son employeur : et que Roland est bien ennuyé pour rentrer chez lui, la police étant déjà sur les lieux avec les experts. Chacun croit que les gangsters se sont approprié le magot. Roland, ne sachant comment s'en tirer, renvoie de façon anonyme l'argent au commissaire de police. Mais Joselito et Francis sont en mauvaise posture, leur indicateur survenant pour réclamer sur la foi des journaux qui relatent le « vol », sa commission. Tout se termine par une bagarre entre le joli monde du café, tandis que Roland et Sylvie, libérés des mensonges et de l'argent, s'embarquent pour Cythère.
© Les fiches du cinéma 2001
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