O.S.S. 117 n'est pas mort (1956) Jean Sacha

Pays de productionFrance
Sortie en France 1957

Générique technique

RéalisateurJean Sacha
ScénaristeJacques Berland
ScénaristeJean Lévitte
Auteur de l'oeuvre originaleJean Bruce
DialoguisteJacques Berland
DialoguisteJean Lévitte
Société de production Globe Omnium Films
ProducteurAlbert Bauer
Directeur de productionLéon Canel
Distributeur d'origine Globe Omnium Films
Directeur de la photographieMarcel Weiss
CadreurAndreas Winding
Ingénieur du sonRené Longuet
Compositeur de la musique originaleJean Marion
DécorateurFred Marpaux
DécorateurJean d' Eaubonne
MaquilleurGisèle Jacquin
MonteurPaulette Robert
ScriptYvette Vérité
RégisseurRenée Bardon
Photographe de plateauWalter Limot

générique artistique

Ivan Desny(Vincent Bushrod)
Magali Noël(Muriel)
Yves Vincent(Boris)
Marie Déa(Marion Lead)
Danik Patisson(Anita Lead)
Béatrice Arnac(Nahedad)
Joëlle Bernard(la barmaid)
Anne Carrère(Lucile)
Colette Castel(Hélène)
Georges Lannes(Anthony Lead)
André Le Gall(Rolando)
Gamil Ratib(Yakoub)
Jacqueline Pierreux(Consuelo)
André Valmy(Sliven)
Charles Millot(Ralph)
Maurice Sarfati(Arthur)
Jean-Michel Rouzière
Louis Massis
Lorraine Bruce
Anne-Marie Mersen
Roger Dumas

Bibliographie

Synopsis

O.S.S. 117, colonel à un service de renseignements, est chargé d'élucider le mystère des fuites de documents importants qui se produisent chez Sir Antony Lead. Il commence par faire surveiller la villa où réside ce dernier sur la Côte d'Azur par Muriel Rousset, une de ses collaboratrices souvent mal inspirée, puis, sous le nom de Vincent Boucherol, il se fait présenter à Sir Antony et à sa famille : sa seconde femme, Marion, beaucoup plus jeune que lui ; Anita, sa grande flile du premier mariage ;Lucile Lorrain, sa secrétaire. Tous se retrouvent à une soirée masquée chez Boris Obarian, un ami des Lead. Vincent se sent surveillé et se méfie d'autant plus qu'une de ses agents, entraîneuse de cabaret, vient d'être supprimée parce qu'elle avait retrouvé un des documents volés. Au retour, il s'aperçoit que les freins de son auto sont sabotés. Il simule alors un accident grave et se fait transporter dans une clinique où il reçoit la visite de la secrétaire d'Obarian ; elle lui apporte une corbeille de fruits confits qui, à l'examen, se révèle dissimuler un magnétophone. De son lit, O.S.S. 117 fait surveiller toute la bande. Tandis que Muriel est partie passer quelques jours avec Obarian, O.S.S. 117 acquiert la certitude de l'innocence de Sir Antony et de la culpabilité de quelqu'un de son entourage qu'il veut couvrir ; ses soupçons se portent sur Lucile Lorrain, qui est peut-être la maîtresse de Sir Antony. Joseph, un commerçant de la ville, à la fois le bras droit et la boîte à lettres d'O.S.S. 117, est à son tour abattu d'une rafale de mitraillette. Le colonel se décide alors à quitter son lit et à brusquer les choses ; il se débarrasse de l'individu qui surveillait les allées et venues de la clinique, arrive à point à la villa de Muriel Rousset pour la délivrer d'un des espions qui l'avait déjà mise hors d'état d'agir puis, attaqué par Yacoub le domestique des Lead, il le poignarde et arrive à la villa de sir Antony pour trouver le corps de ce dernier dans le bureau où il s'est suicidé. Il tend alors un guet-apens dans lequel tombe la jeune Anita qui, par amour romantique pour Obarian, subtilisait les documents paternels. Découverte, elle acceptera de faire venir Obarian, qui à son tour sera abattu par O.S.S. 117. Une dernière mise en scène sauvera la réputation de la jeune fille.
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