Générique technique
 Réalisateur | Ariel Zeïtoun | |
| Assistant réalisateur | Françoise Ebrard | |
| Assistant réalisateur | Philippe Besnier | |
| Scénariste | Jacques Audiard | |
| Scénariste | Ariel Zeïtoun | |
| Auteur de l'oeuvre originale | Gilbert Tanugi | d’après le roman "Saxo-faune" |
| Dialoguiste | Jacques Audiard | |
| Société de production | Partner's Production (Paris) | |
| Société de production | Canal+ | |
| Société de production | Films A2 (Paris) | |
| Producteur délégué | Ariel Zeïtoun | |
| Directeur de production | Dominique Lallier | |
| Directeur de production | Daniel Deschamps | |
| Distributeur d'origine | UGC - Union Générale Cinématographique | |
| Directeur de la photographie | Bruno de Keyzer | |
| Cadreur | Philippe Brun | |
| Ingénieur du son | Bernard Leroux | |
| Ingénieur du son | Harald Maury | |
| Ingénieur du son | François Groult | |
| Mixeur | Claude Villand | |
| Mixeur | William Flageollet | |
| Compositeur de la musique originale | Gene Barge | |
| Compositeur de la musique originale | Donald Kinsay | |
| Compositeur de la musique originale | Denise Osso | |
| Décorateur | Jacques Bufnoir | |
| Coiffeur | Isabelle Gamsohn | |
| Monteur | Hugues Darmois |
générique artistique
| Gérard Lanvin | (Sam Friedman) |
| Akosua Busia | (Puppet) |
| Richard Brooks | (joe) |
| Laure Killing | (Esther) |
| Clément Harari | (Tenia, le beau-père de Sam) |
| Roland Blanche | (Raphaël Scorpio) |
| Thomas M. Pollard | (manager) |
| Erick Desmarestz | (commissaire Brami) |
| Francis Girod | (maître Guignard) |
| Jany Holt | (Meicha) |
| Bernard Farcy | (Moska, l'intimidateur) |
| James Arch | (Frank) |
| Arièle Z. | (Corinne) |
| Joël Cartini | (le médecin) |
Bibliographie
Périodiques
- Cahiers du Cinéma (Les), n° 405, mars 1988
- Cinéma, n° 426, janvier 1988
- Première, n° 128, novembre 1987
- Première, n° 131, février 1988
- Revue du Cinéma (La), n°436, mars 1988
- Studio Magazine, n° 11, février 1988
Synopsis
Ce n'est pas un gagnant, Sam. Lâché par un groupe de rockers, harcelé par les hommes de main de Rosen à qui il doit quelques millions, il croit cependant toujours à son métier de producteur de musique. Une nuit, le hasard le conduit dans un sous-sol de la zone, rempli de Noirs. Et là, il entend. La voix poignante de "Puppet" Bennett, le saxo lyrique de son frère Joe. Dès lors, il n'aura de cesse de les "avoir", de leur faire enregistrer un disque. Tout semble pourtant se liguer contre lui: "Manager", le "protecteur" des Bennett, les truands payés par Rosen pour saccager son appartement avant de l'expédier à l'hôpital; Esther, son épouse, qui ne comprend plus à quoi il joue et pourquoi il les délaisse, elle et leur petite fille. Et les Bennett n'arrangent rien: Puppet, sauvage, belle, mystique, meurtrie; Joe, le frère qu'elle protège plus que de raison, instable, peut-être fou. Le disque se fera, cependant, grâce aux économie du brave Tenia, le beau-père de Sam, et à la débrouillardise de Scorpio qui associe Sam à... Rose n! Mais lors d'une crise, Joe tue une prostituée, un témoin a vu la voiture de Sam, parti à sa recherche: enquête, convocation... pour que le disque soit achevé, Sam endosse le crime. C'en est trop pour Esther qui va se battre pour récupérer son mari: elle va voir le commissaire. Une mise en scène dont Ténia est le pivot, peut-être involontaire, permet à la police de retrouver Joe qu'elle sait maintenant coupable. Sous les yeux de Sam, Puppet tombe, victime des balles d'un CRS. Quelques années plus tard, Sam vient régulièrement voir Joe à l'hôpital psychiatrique. Joe dont le saxophone est toujours aussi déchirant.Copyright, 1995 CMC/Les Fiches du Cinéma
Exploitation
| Nombre total d'entrées en fin d'exclusivité (Paris) | 125363 |
| Nombre de salles de sortie (Paris) | 37 |
| Nombre de semaines d'exclusivité (Paris) | 8 |
| Nombre d'entrée première semaine (Paris) | 17725 |