Vincent mit l'âne dans un pré (1975) Pierre Zucca

Pays de productionFrance
Sortie en France12 mai 1976
Procédé image35 mm - Couleur
Durée106 mn

Générique technique

RéalisateurPierre Zucca
Assistant réalisateurSerge Dubor
Assistant réalisateurGeorges Manuélis
Assistant réalisateurPhilippe Rony
ScénaristePierre Zucca
Société de production Les Films du Tamanoir (Paris)
ProducteurBernard Requeda
Producteur exécutifPierre Cottrell
Distributeur d'origine Parafrance
Directeur de la photographiePaul Bonis
Ingénieur du sonAlain Lachassagne
Ingénieur du sonPierre Gamet
Compositeur de la musique originaleFrançois Rabbath
MonteurNicole Lubtchansky
ScriptLydie Mahias

générique artistique

Michel Bouquet(Pierre Vergne)
Bernadette Lafont(Jeanne Dogson)
Fabrice Luchini(Vincent)
Virginie Thévenet(Bénédicte)
Bernadette Le Saché(La monitrice)
Sandy Whitelaw(Jérôme)
Signor Aldrovandi(l'ami allemand de Pierre Vergne)
Valérie Lidowe(une des deux petites filles)
Pauline Medveski(une des deux petites filles)
Pierre Cottrell(un videur de la salle des ventes)
Jean Eustache(un videur de la salle des ventes)
Elisabeth Medveski(la fille qui pleure dans le bar)
Pierre Zucca(le voyeur sur le balcon)
Philippe Léotard
Pierre Edelman
Patricia Finaly
Yotis Manuélis
Jacqueline Parent
Marie-Hélène Yastchenkoff

Bibliographie

Synopsis

Vincent vit en banlieue avec son père presque aveugle, Pierre Vergne, dont il est forcé de prendre soin. L'existence du jeune homme s'écoule dans la sourde révolte qu'il manifeste à l'égard de cet homme gâté qui s'accroche à lui avec l'énergie du désespoir. La vie des deux hommes s'avère troublée, cependant, par la visite impromptue d'un ancien ami de son père ou par la présence intermittente d'une mystérieuse silhouette qui semble rôder dans le jardin... Un jour, malgré le mécontentement de son père, qui finit par faire contre mauvaise figure bon coeur, Vincent prend la résolution de s'installer à Paris dans une chambre que lui trouve Bénédicte. Parallèlement, il s'aperçoit que son père simule la maladie et qu'il reçoit, certaines nuits, le réconfort de la présence chaleureuse d'une inconnue... Bouleversé par cette révélation, Vincent entraîne Bénédicte à la recherche de la maîtresse de son père; il la découvre, enfin; elle s'appelle Jeanne; elle est commissaire-priseur. C'est Bénédicte qui parle à la jeune femme, car Vincent devient franchement insupportable et imprévisible, même avec Bénédicte dont il est jaloux. Comme Jeanne est venue dans le magasin de moulages que tient Pierre Vergne, Vincent la force à passer commande... Jeanne se plaint amèrement à son amant du fait qu'il n'ait toujours pas osé avouer à son fils leur liaison. Tandis que Pierre Vergne, que Vincent tente à plusieurs reprises de surprendre dans ses contradictions, joue au grand méchant loup, Vincent s'en va livrer à Jeanne ses achats. Celle-ci le retrouve dans son lit... Comme elle le chasse, Vincent s'enfuit...
Copyright, 1995 CMC/Les Fiches du Cinéma
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