Vertige pour un tueur (1970) Jean-Pierre Desagnat

Pays de productionFrance ; Italie
Sortie en France05 août 1970
Procédé image35 mm - Couleur
Durée85 mn

Générique technique

RéalisateurJean-Pierre Desagnat
Assistant réalisateurPatrick Jamain
ScénaristeGeorges Tabet
ScénaristeAndré Tabet
ScénaristeJean-Pierre Desagnat
ScénaristePierre Rey
DialoguisteAndré Tabet
DialoguisteGeorges Tabet
Société de production Paris Cannes Production (Paris)
Société de production Pathé Consortium Cinéma
Société de production Sirius Films (Paris)
Société de production Centro Film (Roma)
Producteur déléguéSergio Gobbi
Directeur de productionJérôme Goulven
Distributeur d'origine C.F.D.C. - Compagnie Française de Distribution Cinématographique (Paris)
Directeur de la photographieRoland Dantigny
CadreurGuy Delattrepour les prises de vues sous-marines
Ingénieur du sonLucien Yvonnet
Compositeur de la musique originale Romuald
MaquilleurValérie Dijon
MonteurGabriel Rongier
ScriptClaude Vériat
RégisseurPierre Darçay
Coordinateur des effets spéciauxFrançois Sune
CascadeurRémy Julienne
Photographe de plateauJean Kerby

générique artistique

Marcel Bozzuffi(Marc)
Sylva Koscina(Sylvie)
Marc Cassot(Philippe)
Michel Constantin(René)
Jean Luciani(Barcus)
Daniel Moosmann(Antoine)
Jacques Castelot(Stéphane)
Michel Bedetti(Francis)
Alan Scott(le marin américain)
Pierre Collet(le routier)
Roger Pelletier(l'employé de la morgue)
Robert Dalban(Juan)
Michel Peyrelon(Jean)
Guy Di Rigo(un tueur de Barcus)
Georges Berthomieu
Eric Donat

Bibliographie

Synopsis

Sous des allures de respectable P.D.G., Charles Barcus est un impitoyable chef de bande. Il décide de se débarrasser d'un dangereux concurrent et charge son tireur d'élite, Marc, d'abattre ce René dont il ignore qu'il fut l'ami de Marc. Ce dernier, d'une voiture qui suit René dans le Paris désert du petit matin, rate son coup et René s'échappe. L'explication qui suit entre les truands est orageuse et Marc réussit à s'enfuir, laissant des morts sur le terrain.Il se réfugie à Antibes, chez un ami sûr, et tente de prendre l'avion pour l'Amérique du Sud où René l'attend. Mais Barcus a retrouvé sa trace et ses tueurs surveillent l'aéroport. Situation bien critique pour Marc, qui se croit sauvé par l'intérêt subit que lui porte une ravissante jeune femme qui l'emmène dans une villa déserte des environs. Le pauvre truand est mal tombé, car la charmante Sylvie, l'ayant reconnu sur la photo d'un magazine, a rapidement échafaudé un plan machiavélique : le jeune homme, qui lui avoue être traqué, va lui servir à endosser le meurtre de l'associé que son mari et elle ont empoisonné pour en hériter. Elle réussit à s'emparer du revolver de Marc qu'elle décharge, gantée, sur le cadavre dont l'autopsie peut être révélatrice et attire le jeune homme sur son yacht, sous couleur de l'aider à fuir. Il comprend un peu tard le piège et lui échappe, mais gravement bles-sé. Il doit, pour s'emparer de la voiture de l'astucieux ménage, abattre le mari resté à la villa et qui tue lui-même sa femme par inadvertance au cours d'une dramatique embuscade aux alentours du garage. Mais Marc n'ira pas loin : les tueurs de Barcus, qui ont contraint l'ami d'Antibes à les renseigner, sont à ses trousses et il expirera sous leurs yeux, à la porte de la clinique où il cherchait refuge.
© Les fiches du cinéma 2001
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