Rappresaglia (1972) George P. Cosmatos

SS représailles

Pays de productionItalie ; France
Sortie en France31 août 1977
Procédé image35 mm - Couleur
Durée103 mn

Générique technique

RéalisateurGeorge P. Cosmatos
Assistant réalisateurLuciano Sacripanti
ScénaristeRobert Katz
ScénaristeGeorge P. Cosmatos
Auteur de l'oeuvre originaleRobert Katzd'après le roman "Death in Rome"
Société de production Compagnia Cinematografica Champion (Roma)
Société de production Fiduciary Films
ProducteurCarlo Ponti
Producteur exécutifPhilip Breen
Directeur de productionPaolo Infascelli
Distributeur d'origine SOFRADIS - Societé Française de Distribution
Directeur de la photographieMarcello Gatti
CadreurCesare Allione
Ingénieur du sonCarlo Palmieri
MixeurFausto Ancillai
Compositeur de la musique originaleEnnio Morricone
Créateur des décorsMorton Haack
Directeur artistiqueArrigo Equini
CostumierGaia Romanini
MaquilleurRon Berkeley
MaquilleurMario Van Riel
MonteurFrançoise Bonnot
MonteurRoberto Silvi
ScriptElvira D'Amico

générique artistique

Richard Burton(le colonel Kappler)
Marcello Mastroianni(le père Pietro Antonelli)
Leo McKern(le général Kurt Maelzer)
John Steiner(le colonel Dollmann)
Anthony Steel(le major Domizlaf)
Robert Harris(le père Pancrazio)
Peter Vaughan(le général Albert Kesselring)
Renzo Montagnani(le préfet Pietro Caruso)
Giancarlo Prete(Paolo)
Renzo Palmer(Giorgio)
Duilio Del Prete(un partisan)
Dennis Burgess(un partisan)
Brook Williams(un partisan)
Guidarino Guidi(un partisan)
Douglas Hare(le jeune soldat allemand)
Jacques Herlin(Giovanni)
Marne Maitland(la secrétaire de Pancrazio)
Delia Boccardo(Elena)
Carlos de Carvalho
Shirley Corrigan
Massimo Sarchielli
Alain Gérard
Anthony Dawson
Kippy Lancaster

Bibliographie

Synopsis

23 mars 1944. Le jour du vingt-cinquième anniversaire du Parti fasciste, les résistants organisent un attentat qui cause la mort de 33 soldats allemands. Deux des organisateurs se réfugient chez le Père Anfonelli, un des responsables de l'Institut de Restauration. Ce dernier a déjà eu affaire aux autorités allemandes et notamment au colonel Kappler à propos d'une histoire de faux tableaux (volontairement fournis par le père aux Allemands), que celui-ci avait découverte et courtoisement arrangée. Le prêtre va tenter, de son propre chef, de faire pression sur l'officier afin qu'il limite les représailles. Mais Kappler a reçu des ordres stricts : pour chaque Allemand tué, Berlin a exigé l'exécution de dix otages. Avec l'aide du chef de la police, Caruso, Kappler dresse donc une liste : les condamnés à mort et tous les suspects additionnés ne donnent pourtant pas le nombre nécessaire. On y adjoint alors des juifs. De nombreux officiers s'étant récusés, c'est Kappler qui, contraint et forcé, dirige le carnage. De son côté, le père Antonelli presse son supérieur d'intervenir auprès du Pape : mais ce dernier semble vouloir s'en tenir à une déclaration de principe. Après une dernière entrevue avec Kappler, le Père Antonelli, désespéré, découvre l'endroit où vont se tenir les exécutions. Il s'y rend et parvient à se glisser parmi les condamnés. Stupéfait, Kappler aura le temps de reconnaître le prêtre avant d'appuyer sur la gâchette.
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