Mise à sac (1967) Alain Cavalier

Pays de productionFrance ; Italie
Sortie en France15 novembre 1967

Générique technique

RéalisateurAlain Cavalier
ScénaristeClaude Sautet
Auteur de l'oeuvre originaleRichard Starck
DialoguisteAlain Cavalier
DialoguisteClaude Sautet
Société de production Les Films Ariane (Paris)
Société de production Les Artistes Associés
Société de production Registi Produttori Associati (Roma)
Directeur de productionPierre Laurent
Directeur de la photographiePierre Lhomme
Ingénieur du sonJean Baronnet
Compositeur de la musique originaleJean Prodromidès
DécorateurJean-Jacques Caziot
MonteurPierre Gillette

générique artistique

Franco Interlenghi(Maurice)
Michel Constantin(Georges)
Daniel Ivernel(Edgar)
Irène Tunc(Marie-Ange)
Tanya Lopert(Marthe)
Paul Le Person(Stéphane)
Julien Verdier(Lebuisson)
Raymond Devime(Philippe)
Pippo Merisi(garde)
Pierre Eugène(garde)
Pierre Maguelon(le pompier Arthur)
Jean-Marie Lancelot(Pinsard)
Henri Poirier(l'agent Croisille)
Luc Andrieux(l'agent Albert)
Jean-Paul Faure(Martens)
Henri Attal(Salsa)
Xavier Gélin(Michel Castagnier)
Philippe Ogouz(Wiss)
Jean Amos(Cambret)
André Rouyer(Rotenbach)
Philippe Moreau(Paulus)
Jean Champion(un curieux)
Simone Landry(Mme Laneret)
Christiane Lasquin(Jeanine)
Catherine Demongeot(Françoise)

Bibliographie

Périodiques

Sites Internet

Synopsis

Georges, un « truand » professionnel, est convoqué par plusieurs confrères dans l'appartement d'Edgar. Celuî-ci est un amateur mais il a une idée d'un « coup » qui, sur le moment, paraît aux gangsters irréalisable. Mais Edgar est tellement convaincant et semble avoir si bien prévu tous les détails que, peu à peu, les hommes sont tentés par cette gageure : s'emparer des leviers de commande d'une ville de province (bureau de poste, de police, etc...) et tout dévaliser, en particulier les diverses banques, et surtout s'emparer de la paie des employés de la grande usine qui est la raison d'être de cette petite ville. Servage, la ville en question, est à partir de minuit une ville morte. Douze hommes suffiront pour faire le travail. Revêtus d'une cagoule de laine noire, ils entrent en action. C'est d'abord le commissariat qui est investi, puis le central téléphonique. Deux des trois employées sont ficelées et mises dans un placard. La troisième, Marie-Ange, transmet tous les appels à l'un des hommes, Maurice, le plus jeune de la bande. Pendant ce temps, les perceurs de coffre peuvent commencer leur besogne. Entre Maurice et Marie-Ange, restés face à face durant cette nuit d'attente, une sympathie naît et ils se mettent à bavarder. Marie-Ange révèle à Maurice qu'elle a reconnu en Edgar un ancien employé de l'usine. Le patron lui avait pris sa femme puis l'avait abandonnéee, et celle-ci s'était suicidée. Le motif majeur d'Edgar est donc moins l'appât du gain que le désir de se venger. C'est ce qui explique que, devenu fou, Edgar incendie la demeure du patron. Celui-ci, du balcon, tire sur lui un coup de fusil. (Les bandits sont obligés de se replier. Edgar mourra en route. Georges réussira à s'échapper. D'autres, moins chanceux, tomberont dans les filets de la police qui barre maintenant toutes les routes de la région.
© Les fiches du cinéma 2001
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Exploitation

Tournage

Dates de tournage

Début : 20 mars 1967
Fin : 12 mai 1967

Lieux de tournage