Je vous ferai aimer la vie (1978) Serge Korber

Pays de productionFrance
Sortie en France31 janvier 1979
Durée90 mn

Générique technique

RéalisateurSerge Korber
ScénaristeVahé Katcha
ScénaristeSerge Korber
ScénaristeClaude Lemesle
ScénaristeJean-Jacques Tarbès
DialoguisteClaude Lemesle
DialoguisteJean-Jacques Tarbès
Société de production Les Films du Quatuor
ProducteurAlain Lejade
Directeur de productionJean-Marc Isy
Distributeur d'origine Silènes Distribution
Directeur de la photographieJean-Jacques Tarbès
Ingénieur du sonBernard Ortion
Compositeur de la musique originaleMichel Legrand
MonteurMarie-Claire Korber

générique artistique

Marie Dubois(Anielle)
Julien Guiomar(Soltier)
Jean-Claude Massoulier(Meran)
Micheline Luccioni(Mme Kolb)
Stéphane Garcin(Olivier)
Catherine Mongodin(Laurence)
Jean-Yves Gautier(Tortelier)
Denis Dahan(Gérard)
Vava(Chloé)
Patrick Préjean(Philippe)

Bibliographie

Périodiques

Synopsis

Une assiette de viande froide avec beaucoup, beaucoup de cornichons. Une aventure de temps à autre, pour meubler sa solitude. Et, pour le reste, l'hôpital... Le "bip bip", signal d'alarme envoyé par la fidèle Kolb pour signaler un cas urgent. Convaincre un malade décidé à mourir de se plier à la dialyse qui le maintiendra en vie. Convaincre les familles de léguer à la médecine les organes de l'être cher qui expire afin de sauver d'autres existences: Soltier supporte tout de ce métier qu'il critique tout haut. Métier qui lui permet cependant de dépenser l'énergie énorme emmagasinée en lui... Mais un jour, devant le chagrin d'Anielle dont le fils a eu un accident de moto, les mots lui manquent... Anielle qui, justement, allait partir à Etretat avec son fils, Olivier devenu homme, surpris la veille dans les bras de son premier amour, Laurence... Olivier, qui portait son casque, donc à qui rien de grave ne pouvait arriver... Et l'aveuglement volontaire de la jeune femme empêche Soltier, malgré les adjurations de son collègue Meran, de révéler la vérité: le coma dépassé dans lequel a été plongé Olivier quelques heures après l'opération, l'urgent besoin de disposer de ses deux reins pour sauver des malades condamnés. Alors Soltier s'enivre: peine perdue! Pressé par le temps, c'est dans une cafeteria encombrée qu'il ose dire à Anielle les paroles qui brûlent ses lèvres. Atterrée, la jeune femme s'enfuit dans la ferme intention de se donner la mort. Après avoir constaté la disparition de certains barbituriques, Soltier se met à la recherche d'Anielle. Il finit par la retrouver dans l'hôtel où elle avait connu, jadis, le père d'Olivier. Au matin, sur le lit qu'elle a déserté, Soltier trouve l'autorisation espérée. Avec une lettre emplie de tristesse et d'espoir...
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