Toute la ville accuse (1955) Claude Boissol

Pays de productionFrance
Sortie en France 1956

Générique technique

RéalisateurClaude Boissol
Assistant réalisateurHenri Toulout
ScénaristeClaude Boissol
AdaptateurClaude Boissol
AdaptateurGeorges Combret
DialoguisteClaude Boissol
Société de production Radius Productions (Paris)
ProducteurGeorges Combret
Directeur de productionYvette Crouzet
Distributeur d'origine Pathé Consortium Cinéma
Directeur de la photographieLéonce-Henri Burel
CadreurPierre Lebon
Ingénieur du sonRaymond Gauguier
Compositeur de la musique originalePaul Durand
DécorateurRobert Dumesnil
MaquilleurAlexandre Marcus
CoiffeurPierre Néant
MonteurLouis Devaivre
ScriptOdette Lemarchand
RégisseurFernand Chaix
Photographe de plateauPhilippe Walhoffray

générique artistique

Jean Marais(François Nérac)
Etchika Choureau(Catherine)
Noël Roquevert(M. Duplantin)
François Patrice(l'avocat)
Michel Etcheverry(le chef des gangsters)
Georges Lannes(le maire)
Albert Duvaleix(Le notaire)
Claude Le Lorrain(jeune homme politique)
Charles Bouillaud(Pistard)
Henri Cogan(1er gangster)
Alain Nobis(2ème gangster)
Odette Barencey(Marie, la bonne)
Paulette Noizeux(Mme Duplantin)
Raphaël Patorni(le président du tribunal)
Louis Viret(le chauffeur)
Guy Mairesse(l'avocat général)
Jacques Hilling(le commissaire)
Marcel Pérès(le militaire sur le trottoir)
Bernard Sarfati(Jean-Marie)
René Berthier(le caissier)
Guy Piérauld(le vendeur de voitures)
Anny Lorène
Jocelyne Bressy
Philippe Hany
Françoise Anassimof
Gaëtan Noël
Déva Dassy
Germaine Delbat
Robert Burnier
Pierre Cosson
Yvon Sarret
Julien Maffre

Bibliographie

Synopsis

Un jeune écrivain peu fortuné, François Neyrac, débarque la veille de Noël dans une petite ville où il vient d'acheter une maison vétuste. Dans la soirée, il trouve des gamins, le nez à la vitre d'un magasin ; il paie à l'un un gâteau, à l'autre un jouet, mais se déclare vaincu par le nombre. Le lendemain, il trouve devant sa porte un sac contenant dix millions. Le service des objets trouvés est fermé. Le surlendemain un deuxième sac. Effaré et s'étant assuré que les billets ne sont pas faux, François prend conseil du notaire : celui-ci soupçonne l'écrivain d'une crise d'imagination, mais, bon enfant, joue le jeu et le rassure : quand on n'a ni découvert un trésor ni trouvé un objet, quand c'est un don, on peut en disposer. François en prend donc son parti : les sacs quotidiens vont s'entasser à la banque, et il commence d'en faire usage, mais un usage généreux : cadeaux aux enfants, aménagements communaux. Les échos de ces libéralités font qu'un gang le prend pour un affranchi et exige le partage. François refuse. Représailles, bagarre dans l'hôtel où sont descendus les gangsters ; en voulant fuir, François est pris pour un voleur et arrêté. En quelques heures, toute la ville accuse le mécène. Personne ne veut croire son histoire et, par malchance, la nuit où la police garde sa maison, aucun sac n'arrive. Mais le jour du jugement, les gamins donnent la clé du mystère ; en jouant, ils ont un jour surpris deux escrocs qui cachaient leur fortune dans une ferme abandonnée et qui se sont tués en auto le jour même. Les enfants ont voulu se servir de l'argent pour offrir des cadeaux à quelques vieilles gens, mais les commerçants, croyant qu'ils avaient pris cet argent à leurs parents, refusaient de rien leur vendre. Une seule solution : trouver une grande personne qui ait bon coeur à qui on confierait les sacs ; ils ont trouvé François. Charmant. mais les gangsters quittent discrètement la salle du tribunal pour filer à la ferme ; poursuite de François et de la police - bagarre - deux assommés et un mort. François retrouve l'amitié de tous et épousera la fille du notaire.
© Les fiches du cinéma 2001
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