Home sweet home (1973) Benoît Lamy

La Fête à Jules

Pays de productionBelgique ; France
Sortie en France16 janvier 1974
Procédé image35 mm - Couleur
Durée91 mn

Générique technique

RéalisateurBenoît Lamy
Assistant réalisateurJacques Raket
Assistant réalisateurPhilippe d' Argila
ScénaristeRudolph Pauli
ScénaristeBenoît Lamy
DialoguisteRudolph Pauli
DialoguisteBenoît Lamy
Société de production Pierre Films (Bruxelles)
Société de production Lamy Films (Bruxelles)
Société de production Reggane Films
ProducteurJacqueline Pierreux
ProducteurBenoît Lamy
Directeur de productionTom Coene
Distributeur d'origine C.F.D.C. - Compagnie Française de Distribution Cinématographique (Paris)
Directeur de la photographieMichel Baudour
CadreurAlessandro Usai
Ingénieur du sonHenri Morelle
Compositeur de la musique originaleWalter Heynen
Interprète des chansons originalesWannes Van de Velde
MaquilleurThérèse Gilbert
MonteurGuido Henderickx
ScriptSusana Rossberg
RégisseurBaudouin Mussche
Photographe de plateauJean-Pierre Coene

générique artistique

Marcel Josz(Jules)
Elise Mertens(Anna)
Ann Petersen(la directrice)
Jacques Lippe(le chef de la police)
Claude Jade(l'infirmière)
Jacques Perrin(Jacques)
Jane Meuris(Flore)
Sylvie(la speakerine)
Marcel Ameye
Marie-Louise Amijes
Dynma Appelmans
Philippe Dany
Ernest Delamine
Eva Djakky
Daniel Dury
Andrée Garnier
Clara Gelman
Josée Gelman
Frank Genoe
Henriette Lambeau
Elie Lison
Jules-Henri Marchant
Francis Monnoyer
Germaine Pascal
Mieke Peeters
Fifi de Scheemaker
Madeleine Stradel
Violette
Anna Wagram
Edgar Willy

Bibliographie

Synopsis

Une jeune et jolie infirmière réveille avec autorité les pensionnaires d'une maison de retraite. L'autorité est d'ailleurs le mal dont souffrent tous les vieux qui vivent ici, seuls ou abandonnés, dans l'attente de la mort : la rude discipline qu'exige la Directrice ressemble trop souvent à une tyrannie ouatée, à laquelle se heurte Jacques, gentil assistant-social, remercié poliment pour prendre trop à coeur les problèmes de ses protégés. Parmi les pensionnaires, la forte tête, c'est Jules, encore assez fringant pour conter fleurette à la « nouvelle », Flore, assez furieux pour entraîner, à la suite d'une brimade, ses amis dans une expédition vengeresse contre « la société de consommation », assez jeune pour faire une fugue en Tunisie, en compagnie de ses deux admiratrices, Anna et Marguerite. Ramené « manu militari », Jules et ses complices sont menacés de renvoi. C'en est trop ! La révolte gronde. Réfugiés sur les toits, les vieux bombardent la police venue les déloger et exposent leurs doléances : « Jules n'est pas fou », et surtout « Home - Prison ». Dans l'affrontement, un pensionnaire meurt. La directrice renvoyée, le gentil assistant-social, élu directeur, instituera dans la maison de retraite une gestion collective.
© Les fiches du cinéma 2003
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Tournage

Lieux de tournage