Générique technique
 Réalisateur | Agnès Varda | |
| Société de production | Ciné Tamaris | |
| Distributeur d'origine | Ciné Tamaris | |
| Directeur de la photographie | Stéphane Krausz | |
| Directeur de la photographie | Didier Rouget | |
| Directeur de la photographie | Didier Doussin | |
| Directeur de la photographie | Pascal Sautelet | |
| Directeur de la photographie | Agnès Varda | |
| Ingénieur du son | Emmanuel Soland | |
| Ingénieur du son | Nathalie Vidal | |
| Compositeur de la musique originale | Joanna Bruzdowicz | |
| Monteur | Agnès Varda | |
| Monteur | Laurent Pineau |
générique artistique
| Agnès Varda | (la narratrice) |
| Edouard Loubet | (le chef-cuisinier) |
| Michel Legendre | (le producteur de pommes-de-terre) |
| Raymond Dessaud | (l'avocat des champs) |
| Bodan Litnansky | (l'auteur du palais idéal) |
| Louis Pons | (l'artiste peintre) |
| Alain Gendron | (l'ostréiculteur) |
| Jérôme-Noël Bouton | (l'arrière petit-fils d'Etienne-Jules Marey) |
Bibliographie
Périodiques
- Cahiers du Cinéma (Les), n° 548, juilet-août 2000
- Cahiers du Cinéma (Les), n° 550, octobre 2000
- Jeune Cinéma, n° 264, octobre 2000
- Positif, n° 478, décembre 2000
- Sight & Sound, n° 1, janvier 2001. Chris Darke, "Refuseniks"
- Sight and Sound, vol. 11 n) 1 janvier 2001
Synopsis
On connaît Les Glaneuses de Millet, mais sait-on que le glanage est une pratique toujours en cours, dans notre société à deux vitesses ? Les glaneurs d'aujourd'hui récupèrent les pommes de terre hors gabarit qui sont jetées par tonnes dans la Beauce. Mais il n'y a pas que les SDF qui se nourrissent des rebuts. On voit aussi Edouard, le chef cuisinier, qui fait la cueillette dans le Luberon et des familles qui grappillent le raisin de Pommard. Car, comme nous le dit Maître Dessaud, l'article R-26-10 du Code Pénal permet le glanage de jour après les récoltes. On peut aussi glaner pour le plaisir ou pour créer (faire "des phrases avec les choses"). En ville, on fait "la biffe" : "car les encombrants, c'est Noël, c'est des cadeaux plein la rue". Et puis, au gré des rencontres et des confidences, il y a aussi les glaneurs d'huîtres à Noirmoutier, les marginaux en procès pour avoir cassé les poubelles javellisées d'un supermarché, une exposition de frigos aménagés, les théoriciens de la récupération anti-gaspi (comme François, l'homme aux grandes bottes, qui se nourrit "100% poubelle depuis 10 ans" sans tomber malade), le grappillage des pommes près d'Arles, la "récup' de rue - rap de rue" à Paris, et surtout ce végétarien de Montparnasse, vivant des restes des marchés et donnant des cours d'alphabétisation le soir dans son foyer de la Sonacotra.|#|#© LES FICHES DU CINEMA - 2000
Exploitation
| Nombre total d'entrées en fin d'exclusivité (Paris) | 45229 |
| Nombre de salles de sortie (Paris) | 3 |
| Nombre de semaines d'exclusivité (Paris) | 52 |
| Nombre d'entrée première semaine (Paris) | 3399 |
| Nombre total d'entrée en fin d'exclusivité (France) | 86000 |
Tournage
Lieux de tournage
- France