Der Letzte Mann (1955) Harald Braun

Mon premier amour

Pays de productionRépublique fédérale d'Allemagne
Sortie en France02 novembre 1960
Procédé image35 mm - NB
Durée105 mn

Générique technique

RéalisateurHarald Braun
ScénaristeGeorg Hurdalek
ScénaristeHerbert Witt
Société de production NDF - Neue Deutsche Filmgesellschaft
Directeur de productionHermann Höhn
Directeur de la photographieRichard Angst
Ingénieur du sonHans Wunschel
Compositeur de la musique originaleWerner Eisbrenner
DécorateurRobert Herlth
DécorateurKurt Herlth
CostumierGudrun Rabente
MaquilleurFranz Siebert
MaquilleurIlse Siebert
MonteurHilwa von Boro
RégisseurRudolf Kley
RégisseurKlaus Hosemann

générique artistique

Hans Albers(Karl Knesebeck)
Romy Schneider(Niddy Hövelmann)
Rudolf Forster(Herr Claassen)
Joachim Fuchsberger(Alwin)
Michael Heltau(Helmut Bühler)
Camilla Spira(Lenchen Knesebeck)
Willy Stettner(le coiffeur Popp)
Franz Essel(Pichler)
Walter Gross(Otto)
Karl Maria Schley(Eugène)
Karl Georg Saebisch(Jonas)
Paul Balhlke(Enrico)
Michael Gebühr(Till)
Peter Lühr(l'oncle Udo)
Ursula von Reibnitz(la tante Alma)
Heini Göbel(l'oncle Max)
Charlotte Witthauer(la tante Elsbeth)
Heinrich Hauser(Krüger)

Bibliographie

Synopsis

Nous voici dans une charmante station thermale bavaroise, baignée par un lac et entourée de montagnes boisées. L'industrie hôtelière y est prospère et l'hôtel Hovelman est le palace de l'endroit. Depuis la mort de son propriétaire, ce grand hôtel est dirigé par Karl, remarquable gérant. La gracieuse Niki, fille de la maison, soutenue par Karl qui l'a connue si petite, soigne de son mieux sa mère gravement malade. A la mort de celle-ci, des oncles et tantes surgissent, seulement attirés par le riche héritage dont ils entendent profiter, poussant leur fils et neveu Hervin à épouser la jeune orpheline. Mais Karl a déjoué leur plan et s'indigne d'un tel abus de confiance. Malgré l'amour qu'elle porte au jeune Muller venu faire un stage à l'hôtel, la jeune Niki se laisse fiancer et, pour sauver la situation afin que l'hôtel ne soit pas vendu, elle se prépare même à épouser ce cousin qu'elle redoute. Karl a été destitué de son poste de commandement pour être affecté à la surveillance des lavabos. Douloureusement, il a cherché à travailler dans des hôtels concurrents, mais il n'a rencontré qu'indifférence ou méfiance. Humilié mais digne, il accepte ce poste subalterne et sera sauvé par un riche propriétaire de chaînes d'hôtels, un habitué de la villégiature, qui s'émeut de voir la déchéance de Karl. Il n'oublie pas qu'il lui doit la vie : cet homme malade faillit se noyer ayant eu un malaise dans sa baignoire et fut sauvé, in extrémis, par Karl et son goût de vivre. Il propose aux héritiers de racheter toutes les parts de l'hôtel et Karl n'a que le temps de se précipiter à l'église où la jeune mariée est déjà arrivée pour empêcher que la cérémonie ne soit célébrée. Se réfugiant dans les bras de son protecteur, Niki retrouve enfin son fin sourire et pourra épouser le jeune et sincère Muller qui n'a cessé de l'aimer. « Ils se marièrent - nous disent les dernières images du film - et ils eurent beaucoup d'enfants ».
© Les fiches du cinéma 2003
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