L'Ora di religione (2001) Marco Bellocchio

Le Sourire de ma mère

Pays de productionItalie
Sortie en France20 novembre 2002
Procédé image35 mm - Couleur
Durée105 mn

Générique technique

RéalisateurMarco Bellocchio
ScénaristeMarco Bellocchio
Société de production Filmalbatros Produzione (Roma)
Société de production RAI Cinema (Roma)
ProducteurMarco Bellocchio
ProducteurSergio Pelone
Distributeur d'origine Océan Films (Paris)
Directeur de la photographiePasquale Mari
Compositeur de la musique originaleRiccardo Giagni
DécorateurMarco Dentici
CostumierSergio Ballo
MonteurFrancesca Calvelli
RégisseurLuigi Lagrasta
Directeur de castingBéatrice Kruger

générique artistique

Sergio Castellitto(Ernesto)
Jacqueline Lustig(Irene)
Chiara Conti(Diana)
Alberto Mondini(Leonardo)
Gianni Schicchi(Filippo Argenti)
Maurizio Donadoni(le cardinal Piumini)
Gigio Alberti(Ettore)
Bruno Cariello(Don Pugni)
Renzo Rossi(Baldracchi)
Piera Degli Esposti(Zia Maria)
Donato Placido(Egidio)
Gianfelice Imparato(Erminio)
Pietro De Silva(Curzio Sandali)
Toni Bertorelli(Bulla)

Bibliographie

Ouvrages

Périodiques

Synopsis

Ernesto est un peintre reconnu, un artiste libre et athée. Il apprend un jour que l'Église veut sanctifier sa mère, assassinée par un de ses frères malade mental. La nouvelle est un double choc : non seulement il réalise que sa famille l'a tenu à l'écart d'une procédure entamée depuis trois ans, mais surtout, il n'aimait pas sa mère. Il est donc violemment opposé à la canonisation. Dès lors, ses tantes, ses frères et son ex-femme vont tenter de le faire changer d'avis (sur sa mère et sur la religion). Même son jeune fils s'en mêle. Ernesto décide d'aller parler avec la professeur de religion de celui-ci, Diana, qui s'avère être une jeune admiratrice fort séduisante. Lors d'une audience avec le Cardinal Piumini, il maintient fermement sa position. Il croise le Comte Bulla qui le provoque en duel parce qu'il lui a souri... du sourire ironique de sa mère. Sa tante Maria essaie à son tour de le convaincre en usant d'arguments plus pragmatiques. Ses deux frères l'emmènent rendre visite au troisième frère matricide. Ernesto s'entête dans son refus, de plus en plus perplexe face à ce qui prend l'allure d'un énorme complot. Il en vient même à douter de Diana, devenue entre temps sa maîtresse. Le duel avec le Comte Bulla a lieu à l'aurore. Au matin, Ernesto emmène son fils à l'école pendant que le reste de sa famille se rend à la cérémonie de béatification.|#|#
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