Générique technique
 Réalisateur | Jean-Claude Brisseau | |
| Assistant réalisateur | Julie Navarro | |
| Scénariste | Jean-Claude Brisseau | |
| Société de production | Les Aventuriers de l'Image | |
| Société de production | La Sorcière Rouge (Paris) | |
| Producteur délégué | Jean-Claude Brisseau | |
| Producteur délégué | Jean-François Geneix | |
| Distributeur d'origine | Rezo Films (Paris) | |
| Directeur de la photographie | Wilfrid Sempé | |
| Ingénieur du son | Xavier Piroëlle | |
| Ingénieur du son | Bernard Leroux | |
| Mixeur | Bernard Leroux | |
| Décorateur | María Luisa García | |
| Costumier | María Luisa García | |
| Costumier | Monique Proville | |
| Monteur | María Luisa García | |
| Script | Floriane Crépin |
générique artistique
| Coralie Revel | (Nathalie) |
| Sabrina Seyvecou | (Sandrine) |
| Roger Mirmont | (Delacroix) |
| Fabrice Deville | (Christophe) |
| Blandine Bury | (Charlotte) |
| Olivier Soler | (Cadène) |
| Sylvain Bourguignon | (le client de la boîte de nuit) |
| Arnaud Goujon | (le patron de la boîte de nuit) |
| Frédéric Marques | (le videur) |
| Lisa Hérédia | (la mère de Sandrine) |
| Jean-Claude Brisseau | (le père de Sandrine) |
| Viviane Théophildès | (Madame Picard) |
| Dorothée Picard | (Madame Delacroix) |
| Pierre Gabaston | (le patron du bar) |
Bibliographie
Périodiques
- Cahiers du Cinéma (Les), n° 572, octobre 2002. Hélène Frappat, "Jean-Claude Brisseau: le spectacle du mal"
- Cahiers du Cinéma (Les), n° 572, octobre 2002. Olivier Joyard, "Les yeux bandés"
- Cahiers du Cinéma (Les), n° 574, décembre 2002. Jean-Sébastien Chauvin, "De l'art et du cochon"
- Cahiers du Cinéma (Les), n° 574, décembre 2002. Sébastien Bénédict, "Les principes d'incertitude de JBR"
- Empire, n° 194, août 2005. David Parkinson, "Secret Things"
- EPD Film, vol. 20, n° 12, décembre 2003. Kai Mihm, "Heimliche Spiele"
- Film Review, n° 660, août 2005. Anwar Brett, "Secret things"
- Film-dienst, vol. 56, n° 25, décembre 2003. Andrea Dittgen, "Heimliche Spiele"
- Film-dienst, vol. 56, n° 25, décembre 2003. Margret Köhler, "Sex provoziert immer"
- Film-Echo/Filmwoche, n° 48, 29 novembre 2003.
- Lettre du Cinéma (La), n° 21, janvier 2003. Christine Martin, "Le repli des femmes"
- Positif, n° 501, novembre 2002. Louis-Stéphane Ulysse, "Choses secrètes: le cinéaste de l'abstraction"
- Première, n° 308, octobre 2002.
- Screen International, n° 1438, 30 janvier 2004.
- Sight and Sound, vol. 15, n° 7, juillet 2005. Ginette Vincendeau, "Secret things"
- Variety, vol. 388, n° 13, 11 novembre 2002. Lisa Nesselson, "Secret things"
Synopsis
Nathalie est danseuse nue dans une boîte où Sandrine officie au bar. Elles se font toutes deux renvoyer. Sandrine étant à la rue, Nathalie lui propose de l'héberger. La complicité s'établit entre elles. Nathalie apprend à Sandrine, à la fois à prendre son plaisir seule et à le simuler avec les hommes. Car Nathalie a un plan pour elles deux : utiliser le sexe pour grimper dans l'échelle sociale. Pour cela une règle d'or : tenir soigneusement les sentiments hors du jeu. Une fois prêtes, les deux amies se font engager dans une grosse entreprise, et cherchent le pigeon à manipuler. Tandis que Sandrine devient la maîtresse du brave Lacroix, le sous-directeur, Nathalie s'attaque au fils du patron, Christophe, un libertin pervers et machiavélique. Elle ne peut s'empêcher d'en tomber amoureuse. Il commence alors à la détruire. Christophe utilise ensuite Sandrine pour évincer Lacroix, puis lui demande de l'épouser dans le but de rassurer son père afin qu'il lui lègue les pleins pouvoirs. À l'issue du mariage, Christophe apprend la mort de son père. Il passe une nuit de noce incestueuse avec sa soeur, et livre Sandrine en pâture à une horde de partouzards. Le lendemain, Nathalie tue Christophe. Sandrine hérite et devient patronne de l'entreprise. Quelques années plus tard, elle croise Nathalie, sortie de prison, et devenue l'humble épouse de son maton.© LES FICHES DU CINEMA 2002
Exploitation
Tournage
Lieux de tournage
- France : Paris
- France : Santeny, Val-de-Marne