La Maison de Nina (2004) Richard Dembo

Pays de productionFrance
Sortie en France12 octobre 2005
Procédé image35 mm - Couleur
Durée110 mn

Générique technique

RéalisateurRichard Dembo
Assistant réalisateurOlivier Bouffard
ScénaristeRichard Dembo
DialoguisteRichard Dembo
Société de production ADR Productions (Paris)
Société de production TF1 Films Production
ProducteurAlain Rozanès
ProducteurPascal Verroust
Directeur de productionMarc Fontanel
Distributeur d'origine TFM Distribution
Directeur de la photographieLaurent Fleutot
Ingénieur du sonMichel Casang
MixeurDominique Hennequin
MixeurChristophe Vingtrinier
DécorateurChristian Marti
CostumierEve-Marie Arnault
MaquilleurJackie Reynal
CoiffeurStéphane Desmarez
MonteurIsabelle Devinck
ScriptElisabeth Chochoy
RégisseurBruno Amestoy
Coordinateur des effets spéciauxFrédéric Moreau
CascadeurRémi Canaple
CascadeurPatrick Cauderlier
Photographe de plateauPatrick Camboulive

générique artistique

Agnès Jaoui(Nina)
Sarah Adler(Marlène)
Katia Lewkowicz(Eva)
Arié Elmaleh(Avner)
Charles Berling(Maurice Gutman)
Adèle Csech(Sylvie)
Jeremy Sitbon(Georges)
Vincent Rottiers(Gabriel)
Alexis Pivot(Jean)
Max Levy(Jules-Marie)
Lola Naymark(Rosette)
Claire Bouanich(la petite blonde)
Arnaud Marciszewer(le Petit Pruneau)
Gaspard Ulliel(Izik)
David Mambouch(Leiser)
Arthur Moncla(Moshe)
Gabriel Hallali(Herschel)
Meir Bloemhof(Schlome)
Jonathan Aleksandrowicz(Aaron)
Jeremias Nussbaum(Schmelke)
Gilles Gaston-Dreyfus(Jacques Goldstein)
Michel Jonasz(le généreux donateur)
Jean-Pierre Becker(Anselme)
Bernard Blancan(Emile)
André Cavaillé(le photographe)
Idit Cebula(la mère de Sylvie et Georges)
Yann Collette(le colonel de Marcieu)
Allen Hoist(Sandy)
Tómas Lemarquis(Gustav)
Philippe Morier-Genoud(Monsieur Gélin)
Élise Otzenberger(Hélène)
Hubert Saint-Macary(le chef de gare)
Ken Samuels(Captain O'Leary)
Vittoria Scognamiglio(Rosina)
Gilles Ségal(le docteur Weill)
Veronika Varga(la fausse mère)
Yann Goven(Bomze)
Judith Henry(la mère adoptive de Jules-Marie)

Bibliographie

Synopsis

Pendant la guerre, la "Maison" accueillait les enfants de déportés. Perdue au milieu des bois, la demeure hébergeait une trentaine de pensionnaires autour de la généreuse et autoritaire Nina, maîtresse des lieux. Refuge pour attendre les parents que l'on espère, école également, la Maison est un havre de paix au coeur de la tourmente. Avec des petits riens glanés par Nina, Rosina, la cuisinière italienne, fait des merveilles. Si tous sont juifs, l'éducation y est laïque. Quand arrive la Libération, chacun s'apprête à voir revenir ses parents. Mais la découverte des camps de concentration fait prendre conscience de l'ampleur du génocide. Nina comprend que la Maison est peuplée d'orphelins. C'est auprès des Américains que Nina se ravitaille. La période est douloureuse, mais sereine... Jusqu'au jour où arrivent des adolescents rescapés de Buchenwald. Sortis de l'enfer, dépourvus de repères, ils sont violents, voleurs, insoumis. Nina décide de réorganiser la Maison autour des valeurs traditionnelles de la religion juive. Le quotidien se transforme. L'éducation religieuse est désormais de rigueur, et les rituels anciens prennent toute la place. Si les éducateurs laïques quittent la Maison, les adolescents retrouvent peu à peu une assise, dominent davantage leurs angoisses et, lentement, s'ouvrent aux autres.
© LES FICHES DU CINEMA 2005
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