There Is no Direction (2005) Sarah Bertrand

Pays de productionFrance
Sortie en France15 novembre 2006
Durée52 mn

Générique technique

RéalisateurSarah Bertrand
Société de production Central Films
ProducteurSarah Bertrand
CoproducteurManuel Herrera
Producteur associéTancrède Ramonet
Producteur déléguéFernando Sulichin
Compositeur de la musique originaleFrédéric Ozanne
MonteurSarah Bertrand

générique artistique

Denys Arcand(dans son propre rôle)
Hector Babenco(dans son propre rôle)
Bernardo Bertolucci(dans son propre rôle)
Sanjay Leela Bhansali(dans son propre rôle)
Nuri Bilge Ceylan(dans son propre rôle)
Youssef Chahine(dans son propre rôle)
Alejandro Chomski(dans son propre rôle)
Yash Chopra(dans son propre rôle)
Larry Clark(dans son propre rôle)
Francis Ford Coppola(dans son propre rôle)
Abel Ferrara(dans son propre rôle)
Mike Figgis(dans son propre rôle)
Stephen Frears(dans son propre rôle)
Monte Hellman(dans son propre rôle)
Shekhar Kapur(dans son propre rôle)
Emir Kusturica(dans son propre rôle)
Spike Lee(dans son propre rôle)
Benoît Mariage(dans son propre rôle)
Jonas Mekas(dans son propre rôle)
Frederick Wiseman(dans son propre rôle)

Bibliographie

Synopsis

"J'ai rencontré et filmé des cinéastes, voici ce que j'ai recueilli". C'est ainsi que la jeune réalisatrice Sarah Bertrand présente ce long court métrage : un recueil de pensées de quelques-uns des plus grands réalisateurs contemporains autour de la question de la création cinématographique. D'un côté, des réalisateurs pragmatiques, comme Chahine, qui n'oublie pas les millions de spectateurs, Ferrara, qui aborde les problèmes de financement, ou encore Chopra, qui pense avant tout à transmettre plaisir et joie à son public. De l'autre, les déçus, comme Mike Figgis, qui dit se sentir artiste avec une petite caméra, mais uniquement réalisateur sur un plateau hollywoodien. Et puis il y a encore ceux pour qui être cinéaste n'est pas un métier : pour Kapur c'est avant tout un engagement émotionnel, tandis que, pour Kusturica, le cinéaste, tel un philosophe, sait beaucoup de choses, tout en ne sachant rien. Il y a enfin les spirituels, comme Ceylan, qui a débuté dans le cinéma parce qu'il ne savait pas quoi faire de sa vie, ou Mailer, pour qui le tournage d'un film, est un croisement entre un cirque, une campagne militaire, un cauchemar et une orgie. Certains livrent des définitions simples (pour Frears, on devient un réalisateur en réalisant un film) ou des principes idéalistes (selon Monte Hellman, il faut toujours faire ce que l'on aime)...
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