Dol (2006) Hiner Saleem

Dol ou la vallée des tambours

Pays de productionIrak ; France
Sortie en France24 janvier 2007
Procédé image35 mm - Couleur
Durée90 mn
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Générique technique

RéalisateurHiner Saleem
Assistant réalisateurJelal Saidah
ScénaristeHiner Saleem
Société de production Hiner Saleem Production
Coproduction NovoCiné (Paris)
Producteur associéMichel Loro
Directeur de productionSivan Salim
Distributeur d'origine NovoCiné (Paris)
Ingénieur du sonBehmen Erdelani
DécorateurSaman Sabunci
CostumierBelçim Bilgin
MonteurDora Mantzoros
MonteurBonita Papastathi
ScriptMarie Ducret
RégisseurSalih Omer
Coordinateur des effets spéciauxHaji Tajik

générique artistique

Nazmi Kirik
Belçim Bilgin
Omer Chawshin
Rojîn Ulker
Tarik Akreyî
Ciwan Haco
Abdullah Keskîn
Sipel Ardogan

Bibliographie

Synopsis

Sur la montagne de Balliova sont gravés, à même le sol, le drapeau turc, et l’inscription : "Heureux celui qui se dit Turc". C’est dans un petit village de cette montagne qu’Azad arrive pour se fiancer. Mais, par un malencontreux hasard, il blesse un soldat turc, et se retrouve contraint de fuir. Il trouve alors refuge dans un village du Kurdistan irakien, où la situation a bien changé depuis la chute de Saddam Hussein. Il est recueilli par un vieux patriarche et sa famille. Ici, la vie se passe calmement, loin des batailles que doivent livrer d’autres Kurdes pour leur reconnaissance en tant que peuple indépendant. Mais Azad ne peut jouir de cette paix sans culpabilité : il veut se battre aux côtés de ses frères kurdes. Il quitte donc le calme de son refuge, pour rejoindre un camp de rebelles dans le Kurdistan iranien. L’endroit n’a rien à voir avec le village qu’il vient de quitter. Le camp est perdu dans la montagne, le territoire est en état de guerre et il est régulièrement la cible de l’aviation iranienne. Bien qu’il soit impliqué dans cette rébellion et qu’il ait la volonté de défendre la cause kurde, Azad ressent le désir de retrouver sa fiancée. Il décide donc de repartir en Turquie. Mais les retrouvailles tournent court : l’armée turque le reconnaît et l’abat, juste au pied du drapeau, là où est gravée l’inscription : "Heureux celui qui se dit Turc".
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