L'Homme qui rêvait d'un enfant (2006) Delphine Gleize

Pays de productionFrance
Sortie en France21 mars 2007
Durée86 mn
DistributeurHaut et court (source : ADRC)
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Générique technique

RéalisateurDelphine Gleize
Assistant réalisateurFabrice Barnier
ScénaristeDelphine Gleize
Société de production Les Productions Balthazar (Paris)
Coproduction Amazing Digital Studios
ProducteurBénédicte Couvreur
ProducteurJérôme Dopffer
Distributeur d'origine Haut et Court (Paris)
Directeur de la photographieCrystel Fournier
Ingénieur du sonMaxime Gavaudan
Ingénieur du sonHubert Salou
MixeurHubert Salou
Compositeur de la musique originale Arthur H
DécorateurYves Fournier
CostumierMarielle Robaut
MaquilleurMarie Luiset
MonteurFrançois Quiquéré
ScriptRoselyne Bellec
RégisseurGaëtane Josse

générique artistique

Artus de Penguern(Alfred)
Darry Cowl(Jules K.)
Esther Gorintin(la mère d'Alfred)
Valérie Donzelli(Suzanne)
Rolande Kalis(l'assistante sociale)

Bibliographie

Synopsis

Célibataire, Alfred élève des poules pondeuses dans son airial landais, et vend ses gros oeufs au marché. Pour une raison qui lui échappe (la mort étrange de son père ?), Alfred ne parle qu’aux enfants et à sa mère. Muet avec les adultes, il ne peut répondre aux élans de la belle Suzanne, dont il a pourtant décrété depuis longtemps qu’elle serait la mère de ses enfants. Désespéré, il fait une demande d’adoption. C’est ainsi qu’il voit arriver dans sa vie Jules K. Mais Jules n’est pas un enfant. C’est un vieux monsieur tout aussi mutique que son père adoptif. Après un bref temps d’adaptation (tout était prêt pour la venue d’un tout petit), les choses se mettent en place, d’autant que Jules se conforme à ce que l’on attend d’un enfant : il joue au ballon, s’amuse, se laisse baigner... L’assistante sociale, en visite, n’y trouve rien à redire et considère que la nouvelle famille de Jules est apte au bonheur. Alfred et Jules communiquent par gestes et écrits interposés. Jusqu’au jour où Jules rencontre Suzanne. Les rapports père-fils se tendent alors à propos des faveurs de la belle, qui passera une nuit avec Jules... Le lendemain, au déjeuner, la mère d’Alfred explique la situation à Suzanne. Les deux femmes pleurent lorsque, soudain, Jules se met à parler, et demande à retourner au foyer. Après l’avoir ramené, Alfred installe une balançoire comme la promesse d’une nouvelle vie.
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