El Custodio (2005) Rodrigo Moreno

Le Garde du corps

Pays de productionArgentine ; France ; Allemagne ; Uruguay
Sortie en France04 avril 2007
Procédé image35 mm - Couleur
Durée93 mn
DistributeurSophie Dulac (source : ADRC)
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Générique technique

RéalisateurRodrigo Moreno
Assistant réalisateurJuan Pablo Laplace
ScénaristeRodrigo Moreno
Coproduction Charivari Films (Paris)
Coproduction Rizoma Films (Buenos Aires)
Coproduction Zarlek Producciones (Buenos Aires)
Coproduction Pandora Filmproduktion GmbH (Köln)
Coproduction Ctrl Z Films ( Montevideo)
ProducteurHernán Musaluppi
ProducteurNatacha Cervi
ProducteurLuis Sartor
CoproducteurElise Jalladeau
CoproducteurChristoph Friedel
CoproducteurFernando Epstein
Directeur de productionLilia Scenna
Distributeur d'origine Sophie Dulac Distribution (Paris)
Directeur de la photographieBárbara Álvarez
Ingénieur du sonCatriel Vildosola
DécorateurGonzalo Delgado Galiana
CostumierAdelaida Rodríguez Puig
MonteurNicolas Goldbart

générique artistique

Julio Chávez(Ruben,le garde du corps)

Bibliographie

Synopsis

Garde du corps d’un ministre, Rubén vit dans l’ombre de son patron. Silencieux et solitaire, il subit sa situation d’homme soumis et très souvent humilié. Lors d’un week-end à la campagne, le ministre révèle à ses invités le don de Rubén pour le dessin, et lui ordonne de faire le portrait de l’un des convives, un politicien français. Rubén s’exécute. On le complimente, mais sur un ton un peu moqueur. Rubén, imperturbable, remercie et regagne sa voiture. L’épouse du ministre reproche à son mari d’avoir humilié son garde du corps. Lors d’une fête d’anniversaire dans un restaurant chinois, la nièce de Rubén, convaincue d’avoir une voix divine, prend le micro et se met à chanter. Le patron lui demande brutalement de partir. Rubén intervient. La fête est finie et tout le monde quitte le restaurant. Rubén se rend, seul, dans un fast-food. Un proxénète le conduit ensuite chez une prostituée... Le lendemain, le ministre a un malaise alors que Rubén s’était un peu éloigné. On allonge le ministre dans une salle isolée. Rubén est chargé de le veiller. Il observe longuement son patron endormi puis, lentement, dégaine son arme, met un silencieux et lui tire un coup net et précis dans la tête... Comme libéré, il se dirige tranquillement vers la voiture et démarre en direction de la mer. Il avait confié à un collègue qu’il ne s’était encore jamais baigné.
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