Párpados azules (2006) Ernesto Contreras

Paupières bleues

Pays de productionMexique
Sortie en France14 novembre 2007
Procédé image35 mm - Couleur
Durée98 mn
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Générique technique

RéalisateurErnesto Contreras
ScénaristeCarlos Contreras
Société de production Agencia Sha (México)
Société de production IMCINE - Instituto Mexicano de Cinematografía (México)
Société de production FOPROCINE - Fondo para la Producción Cinematográfica de Calidad (México)
Société de production Estudios Churubusco Azteca (México)
Société de production New Art Digital (México)
ProducteurLuis Albores
ProducteurErika Avila
ProducteurErnesto Contreras
ProducteurSandra Paredes
Distributeur d'origine Colifilms Diffusion
Directeur de la photographieTonatiúh Martínez
Ingénieur du sonEnrique Greiner
Ingénieur du sonErick Dounce
Compositeur de la musique originale Iñaki
Directeur artistiqueErika Avila
CostumierGabriela Fernandez
MonteurErnesto Contreras
MonteurJosé Manuel Craviotto

générique artistique

Cecilia Suárez(Marina Farfan)
Enrique Arreola(Victor Mina)
Ana Ofelia Murguía(Lulita)
Tiaré Scanda(Lucia)
Luisa Huertas(Mercedes)

Bibliographie

Synopsis

Marina travaille dans un atelier de confection d’uniformes professionnels. Lorsque la direction organise une tombola, Marina remporte le premier prix : un voyage paradisiaque à Playa Salamandra. Mais c’est un voyage pour deux ! Marina prend en pleine figure sa solitude, allant même jusqu’à contacter sa soeur (qui voudrait qu’elle lui offre, pour elle et son mari, ce voyage de la dernière chance !) pour partager son voyage. Aussi, lorsque Victor, soi-disant un ancien copain d’école, accoste Marina et lui laisse son numéro de téléphone, elle décide de le rappeler. Leur premier rendez-vous est embarrassant. Maintenant que Marina a invité Victor à partager son voyage, ils doivent passer par toutes les étapes d’un couple à l’amour grandissant. Leur déjeuner sur l’herbe est un désastre : les regards se fuient, les silences sont pesants. L’approche du voyage idyllique devient oppressante. Pourtant, ils font encore un effort : dîner au restaurant, cocktails, soirée dansante, slow, baiser... puis nuit de sexe (qui ne fera pas oublier les longues périodes de masturbation). Mais rien n’y fait. Si bien qu’à la gare routière, lorsque Victor arrive, Marina est déjà partie. Elle lui adresse une carte postale exprimant tous ses remords, et lui demande de l’attendre à son retour. Ce qu’il fait, presque comme si de rien n’était. En voiture, le couple se retrouve en panne sous un pont inondé. Baiser, demande en mariage, accord.
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