El Asaltante (2006) Pablo Fendrik

L'Assaillant

Pays de productionArgentine
Sortie en France08 octobre 2008
Procédé image35 mm - Couleur
Durée67 mn
DistributeurFilms Sans Frontières (Les) (source : ADRC)
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Générique technique

RéalisateurPablo Fendrik
Assistant réalisateurMaría Martelotti
ScénaristePablo Fendrik
Société de production Magmacine (Buenos Aires)
Coproduction La Fabrica de Cine (Buenos Aires)
Coproduction Tres Sonido (Buenos Aires)
ProducteurJuan Pablo Gugliotta
Distributeur d'origine Les Films sans Frontières
Directeur de la photographieCobi Migliora
Ingénieur du sonLeandro de Loredo
DécorateurVictoría Pedemonte
MaquilleurVeronica Fiszer
MonteurLeandro Aste

générique artistique

Arturo Goetz(l'assaillant)
Bárbara Lombardo(la serveuse)
Germán de Silva(le patron du bar)
Guillermo Arengo(le pharmacien)
Alejandro Ruaise(un agent de sécurité)
Ruben Lugo(un agent de sécurité)
Maya Lesca
Verónica Piaggio

Bibliographie

Synopsis

À Buenos Aires, Ramos, un homme d’une soixantaine d’années, avec veste et cravate, se rend dans une école privée. Il demande à y inscrire son fils. Il est donc reçu par une jeune femme, face à laquelle il dégaine bientôt un revolver, en lui annonçant qu’il s’agit d’un hold-up. Il se fait remettre la caisse de l’école, puis enferme la femme dans un placard et repart tranquillement. Il se rend ensuite dans un bar pour y prendre un thé. La serveuse lui renverse l’eau chaude sur la main et s’excuse à peine. Ramos va s’acheter une crème dans une pharmacie, se soigne, puis se rend dans une autre école privée. Sous le prétexte d’acquitter des frais d’inscription en retard, il est reçu dans un bureau. Mais on veut à tout prix lui parler de sa supposée fille, et les choses tournent mal. Ramos perd son flegme, devient plus violent. Il réussit à voler de l’argent et à prendre la fuite. Dans une boutique, il s’achète des vêtements de sport. La serveuse le croise par hasard, et commence à le suivre. Il s’en rend compte et la braque avec son arme pour lui faire peur. Elle fait une sorte de crise de spasmophilie. Ramos la conduit à la pharmacie, où on la soigne. Ils marchent un peu dans un parc. Ramos lui avoue que son revolver n’est qu’un jouet. Puis il repart. Il entre maintenant dans une petite école, plus pauvre. Ses collègues le saluent. Il s’assoit dans le fauteuil du directeur et écoute les plaintes d’une mère d’élève. Puis il enfile sa blouse et va faire la classe.
© LES FICHES DU CINEMA 2008
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